• trop mignon...

    Bon après-midi...


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  • En pause pour une durée indéterminée...

    bises à tous et à très bientôt...

    Portez-vous bien!!!

    Bises de Véro...


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  •  

    Règles pour être (s) humain (s).


    Un corps t’a été donné. Tu peux l’aimer ou le détester, mais ce sera le tien pour toute la durée de cette vie.

    Tu vas apprendre des leçons. Tu es inscrit(e) dans une école informelle à plein temps appelée "Vie ". Chaque jour tu auras l’occasion d’apprendre des leçons dans cette école. Tu pourras aimer les leçons, ou penser qu’elles sont idiotes ou sans pertinence.

    Il n’y a pas de fautes, seulement des leçons. La croissance est un processus d’essai et erreur : l’expérimentation. Les expériences " ratées " font tout autant part du processus que celles qui réussissent.

    Une leçon sera répétée jusqu’à ce quelle soit apprise. Une leçon te sera présentée sous diverses formes, jusqu’à ce que tu l’apprennes. Quand tu l’auras apprise, tu pourras passer à la leçon suivante.

    Apprendre des leçons ne finit jamais. Il n’y a pas de partie de "Vie" qui ne contienne de leçon. Si tu es en vie, il y a des leçons à apprendre.

    " Ailleurs " n’est pas meilleur qu’ " ici ". Quand ton " ailleurs " est devenu " ici ", tu obtiens à nouveau un autre " ailleurs " qui a son tour te semblera meilleur qu’ " ici ".

    Les autres sont essentiellement des miroirs de toi-même. Tu ne peux aimer ou détester quelque chose chez autrui que si ce quelque chose reflète une chose que tu aimes ou que tu détestes en toi.

    Ce que tu fais de ta " Vie " dépend de toi. Tu as tous les outils, toutes les ressources dont tu as besoin. Ce que tu en fais dépend de toi. Le choix t’appartient.

    Tes réponses sont en toi. Les réponses aux questions de la " Vie " sont en toi. Tout ce qu’il te faut, c’est regarder, écouter et faire confiance.

    A mesure que tu t’ouvres à cette confiance, tu te souviendras de plus en plus de tout ceci.

    Anonyme...


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  • Qui veut dire « Joyeux Noël », en différentes langues… une petite liste pour vous aider,

    Amusez-vous bien, bises de Véro…

    Et chez moi c’est « Bloavezh Mad « , (bonne année), Kenavo…

     

    Afrikaan

    Een Plesierige Kerfees

    Albanais

    Gezur Krislinjden

    Allemand

    Froehliche Weihnachten

    Anglais

    Merry Christmas

    Arabe

    Idah Saidan Wa Sanah Jadidah

    Armenian

    Shenoraavor Nor Dari yev Pari Gaghand

    Basque

    Zorionak eta Urte Berri On

    Bohemian

    Vesele Vanoce

    Brésilien

    Boas Festas e Feliz Ano Novo

    Breton

    Nedeleg laouen na bloavezh mat

    Bulgare

    Chestita Koleda

    Catalan

    Bon Nadal i un Bon Any Nou

    Chili

    Feliz Navidad

    Chinois (Cantonais)

    Gun Tso Sun Tan'Gung Haw Sun

    Chinois (Mandarin)

    Kung His Hsin Nien bing Chu Shen Tan

    Colombien

    Feliz Navidad y Próspero Año Nuevo

    Corrén

    Sung Tan Chuk Ha

    Corse

    Pace e salute

    Croate

    Sretan Bozic

    Danois

    Glaedelig Jul

    Eskimo (inupik) 

    Jutdlime pivdluarit ukiortame pivdluaritlo

    Espagnol

    Feliz Navidad

    Esperanto

    Gajan Kristnaskon

    Esthonien

    Roomsaid Joulu Puhi

    Finlandais

    Iloista Joulua

    Grec

    Kala Christouyenna

    Hollandais

    Vrolijk Kerstfeest ou Zalige Kerst

    Hawaiien

    Mele Kalikimaka

    Hébreu

    Mo'adim Lesimkha. Chena tova

    Hindou 

    Shub Naya Baras

    Hongrois

    Kellemes karacsonyi unnepeket

    Indonésien

    Selamat Hari Natal

    Italien

    Buone Feste Natalizie

    Irlandais

    Nodlaig mhaith chugnat

    Japonais

    Shinnen omedeto. Kurisumasu Omedeto

    Latin 

    Natale hilare et Annum Faustum

    Letton

    Priecigus Ziemassvetkus

    Lithuanien

    Linksmu Kaledu

    Maori

    Meri Kirihimete

    Norvégien

    Gledelig Jul

    Polonais

    Wesolych Swiat

    Portuguais 

    Boas Festas

    Roumain

    Sarbatori vesele

    Russe

    Pozdrevlyayu s prazdnikom Rozhdestva is Novim Godom

    Serbien

    Hristos se rodi

    Slovakien

    Sretan Bozic

    Suèdois

    God Jul

    Tchécoslovaque

    Prejeme Vam Vesele Vanoce a stastny Novy Rok

    Turc

    Noeliniz Ve Yeni Yiliniz Kutlu Olsun

    Ukrainien

    Srozhdestvom Kristovym

    Vietnamien

    Chung Mung Giang Sinh

    Welsh

    Nadolig Llawen

    Yougoslave

    Cestitamo Bozic

     


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  • Une histoire d’autobus et de rentrée scolaire...

    Les rentrées scolaires ne se déroulent pas toutes comme on le voudrait… Il arrive même que cette journée importante devienne une source d’inquiétude, comme nous le raconte Jean-François Bourassa.

    Fée-Bouclée s’est toujours servi du jour de son entrée en maternelle comme point de repère pour la majorité de ses accomplissements. Alors qu’elle entendait pour la première fois son pipi déferler dans la cuvette, elle faisait déjà allusion à son entrée à l’école qu’elle voyait se rapprocher davantage. En effectuant ses premiers coups de pédales et ses premières longueurs de piscine, elle trépignait d’impatience puisqu’elle sentait l’école à sa portée. Elle affichait une assurance déconcertante, car, depuis longtemps, elle s’était préparée en fonction de ce moment charnière de son développement. Tout devait être parfait pour assurer la rentrée scolaire de ma fillette.

    Ma conjointe et moi avons mis en place une série de dispositions pour simuler et vulgariser chacune des possibilités susceptibles de décontenancer la demoiselle. Visite de l’école, balade en autobus, cours intensif sur l’utilisation de la boîte à lunch… Rien n’avait été laissé au hasard. Notre princesse s’était même confectionné une fiche d’identité plastifiée comportant adresse et numéro de téléphone à porter autour du cou. Ma fille débordait de confiance alors que l’anxiété envahissait graduellement ses parents.

    Dès les premiers rayons de soleil au matin du grand jour, Fée-Bouclée s’est faite coquette avant même de nous réveiller. Elle a pris soin d’endosser son sac d’écolière avant de déguster son petit déjeuner. Elle m’a extirpé du lit, une heure à l’avance, afin que je l’accompagne à l’arrêt d’autobus. Elle ne voulait pour rien au monde rater cette journée dont on lui avait tant vanté l’importance. Elle fixait l’horizon dans l’attente fébrile du véhicule jaune pendant que ma fierté de père exaltait sous le regard du voisinage qui concluait que ma gamine avait désormais grandi.

    Je ne tarirai jamais d’éloges vis-à-vis la patience légendaire que la Fée-Bouclée a démontrée par ce matin de canicule. L’autobus 471 tardait… au point de ne jamais se présenter au rendez-vous! Alors que je la conduisais en voiture, ma fille s’est mise à pleurer à chaudes larmes. Elle se sentait coupable d’avoir raté un moment aussi important. Avant de la laisser affronter l’école, je l’ai serré très fort dans le but de la rassurer. Après l’avoir embrassé tendrement sur la joue, elle s’est rapidement ressaisie pour affronter, avec un peu de retard, son milieu scolaire.

    En fin de journée, alors que je me suis pointé à l’école pour récupérer ma petite Fée, elle s’apprêtait à grimper à bord de l’autobus. Surprise de ma présence, elle refusait obstinément de m’accompagner en voiture puisqu’elle voulait réparer la lacune de la matinée et faire le trajet en autobus. Elle désirait dompter le monstre jaune une fois pour toutes et vivre l’expérience qui avait été compromise. Résigné, j’ai regagné ma résidence en toute confiance puisque je la savais en parfait contrôle de la situation.

    Devant notre maison située à peine à deux kilomètres de l’école, je faisais les cent pas. Je tentais de m’expliquer comment un si court trajet pouvait prendre plus de deux heures et demie.   Le transport accumulait du retard et même si l’école tentait de se faire rassurante au téléphone, ma nervosité était palpable pour tout le voisinage. Paniqué, je me suis dressé au milieu de la rue pour bloquer chaque autobus qui passait pour vérifier si ma fille s’y trouvait. Les véhicules scolaires commençaient à se faire rares et mon inquiétude croissait chaque seconde.

    À mon grand soulagement, l’engin flamboyant s’est finalement présenté avec sa dernière passagère exténuée par la chaleur accablante. La porte à peine ouverte, le chauffeur m’a avoué candidement avoir négligé de prendre connaissance du trajet de la nouvelle année…

    Toutes les familles ont des anecdotes liées à la rentrée scolaire et peu importe notre préparation, nul n’est à l’abri de tels cafouillages. Chacun réagit à sa façon. Il n’y a pas de mode d’emploi. On peut crier notre mécontentement au chauffeur, à la direction de l’école, à la commission scolaire, aux médias, au député… 

    Je m’apprêtais justement à faire connaître mon désarroi lorsque la Fée Bouclée s’est jetée affectueusement dans mes bras. Cette fois, c’est elle qui tentait de me réconforter. Elle me serrait avec toute l’énergie de ses petits bras. Elle tentait de me transmettre la force dont elle avait fait preuve pour traverser avec brio sa première journée d’école. Un petit baiser sur ma joue et toute mon amertume s’est dissipée instantanément. J’ai quitté l’autobus sans dire un mot en transportant ma princesse jusqu’à son château.

    Ma fillette est devenue une grande fille et c’était maintenant à mon tour de le réaliser.

    Par Jean-François Bourassa, papa
    Père de trois enfants en bas âge, Jean-François Bourassa a vu sa vie se métamorphoser au cours de la dernière décennie. Après des formations en créations littéraires et scénarisation cinématographique, il œuvre la nuit dans un domaine diamétralement opposé. Assistant également sa conjointe responsable de service de garde en milieu familial, sa personnalité est désormais marquée et influencée par la présence perpétuelle d’enfants dans son petit univers. Il nous livre sous forme de chronique ses états d’âme entre deux changements de couches.


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  • de belles images pour un peu d'évasion, en vous souhaitant une belle soirée...

    je m'absente quelques jours pour des petites vacances familiales...

    au plaisir de tous vous retrouver à mon retour...

    avec toute mon amitié, je vous souhaite de belles journées et de belles fêtes de Pâques...

    à bientôt...

    bises de Véro...


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  • Un peu d'humour en ce jour, avec les travers du language, et quelques proverbes détournés...

    en vous souhaitant une belle journée...

    bises de Véro et bonne visite...

     

    Proverbes détournés…

    Mieux vaux rater un baiser que de baiser un raté.


    Bière qui coule ramasse la mousse.


    Chassez le naturiste, il revient au bungalow.


    Il ne faut pas se coucher sur la peau de l'ours avant de l'avoir tué.


    Il n'y a pas de fumée sans Indiens.


    Qui ne dit mot consent, c'est bien connu... mais quand on a mauvaise haleine, c'est quand on dit mot qu'on sent.


    Les politiciens, c'est comme les couches des bébés; il faut les changer régulièrement, et ce, pour les mêmes raisons!


    La parole est d'argent mais le silence endort.


    Qui vole un boeuf est vachement musclé.


    Qui pisse loin ménage ses chaussures.


    Tousse pour un, rhume pour tous.


    Dans chaque église, il y a toujours quelque chose qui cloche.


    Mieux vaut être incompris que pris avec un con.


    On dit d'un accusé qu'il est cuit quand son avocat n'est pas cru.


    Celui qui se couche avec le cul qui pique se lève avec le doigt qui pue.


    Mieux vaut une escalope avec une salade qu'une escapade avec une salope

    Pour être riche, il ne faut pas payer les vieilles dettes... Quant aux nouvelles, il faut les laisser vieillir.

    C'est dans les vieilles marmites qu'on fait les meilleures soupes... à condition d'avoir l'os !

    Il n'y a pas de petits profits... il n'y a que de grandes poches.

    L'espoir fait vivre... mais l'attente fait mourir.

    Il ne faut pas user la chandelle par les deux bouts... c'est trop chaud !

    La santé est le bien le plus précieux... quand on n'a rien d'autre.

    Ne frappe jamais un homme à genoux... quand tu peux le faire alors qu'il est couché.

    Un cadeau refusé tient toujours lieu d'offense... d'où les pots-de-vin.

    Cueille dès aujourd'hui les roses de la vie... et demain les épines.

    On n'attrape pas les mouches avec du vinaigre... ni avec un bazooka, d'ailleurs.

    La fortune sourit à celui qui se lève tôt... pas trop quand même !

    Ce sont les tonneaux vides... et les hommes pleins... qui font le plus de bruit.

    Ne remets jamais à demain ce que tu peux faire faire aujourd'hui par un autre.

    Tant va la cruche à l'eau qu'à la fin elle se casse... Faut bien que les potiers vivent !

    La plus jolie fille ne peut donner que ce qu'elle a... mais elle peut prendre beaucoup plus.

    A la Saint Valentin, elle m'a touché la main,
    Vivement la Saint Marguerite

    C'est au pied du mur qu'on voie ... le mieux le mur

    C'est en sciant que Léonard devint scie.


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  • Mon blog est au ralenti, car je sis en plein déménagement, je ne vous oublies pas, je reviendrais très vite, merci pour vos visites, et à plus tard...

    bises de Véro et portez-vous bien...


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  • en ce début de semaine voici une petite lettre trouvée sur le net, et de circonstence...

    en vous souhaitant un bon debut de semaine...

    bonne visite et bises de Véro...

     

    Lettre d’une demandeuse de non emploi au président de la république…

     

    Cher Monsieur le Président de la République française,

    J’espère que vous vous portez bien ainsi que vos proches, car la santé, c’est primordial. Ici il fait beau, bien que le ciel soit un peu couvert. Ça ne m’empêche pourtant pas de sortir ma fille tous les jours pour sa promenade. J’espère que vous aussi, vous pensez à prendre du temps pour vous. C’est à ce sujet que je me permets de vous écrire.

    En effet, après avoir pris un maximum de congés aussi bien maternité que parental, je suis à court d’idées et me vois dans l’obligation de reprendre un travail. Or, après une longue introspection, je suis parvenue à cette conclusion que je n’en ai pas du tout envie.

    Après avoir retourné le problème dans tous les sens et constaté qu’il demeurait sans solution durable, je ne vois plus que vous pour intervenir dans cette cause nationale que constitue la préservation de mon non-emploi.

    Dans cette optique, je souhaiterais vous poser deux questions, car vous êtes au fait de plus de choses que je ne pourrai jamais l’être :

    1- Y aurait-il un congé rémunéré auquel je n’aurais pas pensé ? ………….

    2- Pratiquez-vous les emplois fictifs comme cela se faisait un temps ? ………………………………………………………………………………………………………….

    Je vous ai laissé un espace à côté des propositions afin que ça vous fasse gagner du temps pour me répondre. Mettez un O pour « oui » et un N pour « non » (le grand espace est conçu pour que vous puissiez développer le cas échéant).

    Vous noterez au passage qu’à force de pratiquer les administrations je deviens aussi bonne qu’elles en matière de formulasserie inutile.

    Monsieur le Président, j’ai bien conscience que ma requête peut vous paraître insolite. J’ai en effet remarqué à quel point les présidents semblaient attachés à leurs fonctions et combien il leur était difficile de les quitter. En ce qui me concerne, c’est tout à fait l’inverse : je suis à des années-lumière de mes fonctions et il m’est difficile de m’y recoller.

    Je vous propose donc, afin que votre vision du peuple s’élargisse aux paresseux, de vous servir de modèle en fainéantise. A chaque proposition gouvernementale, je vous donnerai ma vision oisive du sujet.

    ………………………………………………………… (cet espace pour votre réponse).

    Souhaitant que malgré nos différences notables, ma démarche d’immobilisme vous touchera.

    Bien à vous


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  • Bonjour... petit texte à méditer... pour vous souhaiter une belle journée... et une belle semaine...

    bises de Véro et bonne visite...

    Le respect est une vertu fort négligée.
    Le respect c’est l’espace vital.

    Lorsqu’on ne se donne pas le respect, on ouvre des portes et des fenêtres,
    et ce dans différents aspects de notre être, et ces espaces se remplissent
    et ces espaces deviennent les manques de respect des autres envers nous.

    C’est en nous, en chacun de nous que se situe la clé du respect.
    On ne peut jamais blâmer l’autre de son manque de respect.
    Le manque de respect de l’autre est toujours constitué du manque de respect envers nous-mêmes.

    Le respect, c’est la survie de l’être.
    Le respect est une forme d’amour de soi.
    Ce qui ne veut pas dire qu’on n’accueille pas l’autre, mais on l’accueille près de soi et non en soi.

    Le respect appelle toujours le respect.
    Et le respect a un grand besoin de l’être.

    Lorsque vous manifestez à quelqu’un votre respect,
    cette personne se sent grandie, cette personne se sent comprise.
    Les manifestations de respect qui sont de l’amour, éveillent toujours chez ceux et celles
    qui les reçoivent, un plus grand respect d’eux-mêmes.

    Le respect admire ce qui est et le laisse vivre.

    Le respect reçoit la beauté de l’autre et laisse cette beauté vivre et se développer sans chercher à se l’accaparer.

    Lorsque deux respects se côtoient, l’amour naît.

    Les respects cheminent côte à côte, ne s’interpénètrent jamais.
    Ce qui ne veut pas dire que les corps ne peuvent pas se joindre,
    que les émotions ne peuvent pas se frôler,
    que les pensées ne peuvent pas chevaucher ensemble les grands espaces,
    mais que toujours, il y a de la place pour que chacun des êtres
    puisse se développer dans son essence,
    pour que chacun des êtres puisse continuer à se re-connaître.


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  • [Sans titre]

    Pour vous souhaiter une belle et heureuse année 2012...

    voici un très beau texte sur la vie (trouvé sur le net), à découvrir ou redécouvrir...

    en vous souhaitant une beau week-End, bises de Véro...

    [Sans titre]

     

    Chemin de vie

    Un jour, un vieux professeur de l'École nationale d'administration ( ENA ) fut engagé pour donner une formation sur la Planification efficace de son temps à un groupe d'une quinzaine de dirigeants de très grosses compagnies nord-américaines. Ce cours constituait l'un des cinq ateliers de leur journée de formation. Le vieux prof n'avait donc qu'une heure pour "passer sa matière". Debout, devant ce groupe d'élite (qui était prêt à noter tout ce que l'expert allait enseigner), le vieux prof les regarda un par un, lentement, puis leur dit : "Nous allons réaliser une expérience". De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux prof sortit un immense pot qu'il posa délicatement en face de lui.

    Ensuite, il sortit environ une douzaine de gros cailloux à peu près gros comme des balles de tennis et les plaça doucement, un par un, dans le grand pot. Lorsque le pot fut rempli jusqu'au bord et qu'il fut impossible d'y ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda :

    " Est-ce que ce pot est plein ? " .
    Tous répondirent : " Oui " .
    Il attendit quelques secondes et ajouta :
    " Vraiment ? " .

    Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de gravier s'infiltrèrent entre les cailloux ... jusqu'au fond du pot. Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et redemanda :

    " Est-ce que ce pot est plein ? ".

    Cette fois, ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège.
    L'un d'eux répondit : " Probablement pas ! ".
    " Bien ! " répondit le vieux prof.

    Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table une chaudière de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier... Encore une fois, il demanda :
    " Est-ce que ce pot est plein ? ".

     

    Cette fois, sans hésiter et en coeur, les brillants élèves répondirent : "Non !"
    "Bien !" répondit le vieux prof.

    Et comme s'y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le pichet d'eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu'à ras bord. Le vieux prof brancha les yeux vers son groupe et demanda :
    "Quelle grande vérité nous démontre cette expérience ?"
    Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce cours répondit :
    "Cela démontre que même lorsque l'on croit que notre agenda est complètement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter plus de rendez-vous et plus de choses à faire".
    "Non !" répondit le vieux prof. "Ce n'est pas cela"
    "La grande VÉRITÉ que nous démontre cette expérience est la suivante :
    "Si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire entrer tous ensuite".

    Il y eut un profond silence, chacun prenant véritablement conscience de l'évidence de ces propos...
    Le vieux prof leur dit alors : "Quels sont les GROS CAILLOUX dans votre vie ?"
    " Votre santé? Votre famille ? Vos ami(e)es ? Réaliser vos rêves ? "
    "Faire ce que vous aimez ? Apprendre ? Défendre une cause ? Relaxer ? Prendre le temps ?"
    "Ou.....tout autre chose ?"

    Ce qu'il faut retenir, c'est l'importance de mettre ses GROS CAILLOUX en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir... sa vie. Si on donne priorité aux peccadilles (le gravier, le sable) on remplira sa vie de peccadilles et on n'aura plus suffisamment de temps précieux à consacrer aux éléments IMPORTANTS de sa vie.

    Alors n'oubliez pas de vous poser à vous-mêmes la question :
    "QUELS SONT LES GROS CAILLOUX DANS MA VIE ?"

    Ensuite, mettez-les en premier dans votre POT ( vie )"

    D'un geste amical de la main, le vieux prof salua son auditoire et lentement quitta la salle.

    [Sans titre]


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  •  

    Quelques petits mots bien penser, pour ces derniers jours de l'année, en vous souhaitant une bonne visite.. bises de véro...

     

     

    Entre ce que je pense, 
    ce que je veux dire, 
    ce que je crois dire, 
    ce que je dis, 
    ce que vous voulez entendre, 
    ce que vous entendez, 
    ce que vous croyez en comprendre, 
    ce que vous voulez comprendre, et 
    ce que vous comprenez,

     Il y a au moins neuf possibilités de ne pas se comprendre. 
    Mais, s'il vous plaît, essayons quand même ...

    L'ARGENT

    Il peut acheter une maison
    Mais pas un foyer...

    Il peut acheter un lit
    Mais pas le sommeil...

    Il peut acheter une horloge
    Mais pas le temps...

    Il peut acheter un livre
    Mais pas la connaissance...

    Il peut acheter une position
    Mais pas le respect...

    Il peut payer le médecin
    Mais pas la santé...

    Il peut acheter du sang
    Mais pas la vie...

    Il peut acheter du sexe
    Mais pas de l'amour...

    Précepte Chinois...

    Il était une fois, une ile où tous les différents sentiments vivaient : le Bonheur, la Tristesse, le Savoir, ainsi que tous les autres, l'Amour y compris.

    Un jour on annonca aux sentiments que l'ile allait couler.
    Ils préparèrent donc tous leurs bateaux et partirent.
    Seul l'Amour resta. L'Amour voulait rester jusqu'au dernier moment.

    Quand l'ile fut sur le point de sombrer, l'Amour décida d'appeler à l'aide.
    La Richesse passait à coté de l'Amour dans un luxueux bateau.
    L'Amour lui dit, "Richesse, peux-tu m'emmener?"
    "Non car il y a beaucoup d'argent et d'or sur mon bateau.
    Je n'ai pas de place pour toi."
    L'Amour décida alors de demander à l'Orgueil, qui passait aussi dans un magnifique vaisseau, "Orgueil, aide moi je t'en prie ! "
    "Je ne puis t'aider, Amour. Tu es tout mouillé et tu pourrais endommager mon bateau."
    La Tristesse étant à coté, l'Amour lui demanda, "Tristesse, laisse-moi venir avec toi. ".
    "Ooh... Amour, je suis tellement triste que j'ai besoin d'etre seule !"
    Le Bonheur passa aussi à coté de l'Amour, mais il était si heureux qu'il n'entendit meme pas l'Amour l'appeler !
    Soudain, une voix dit, " Viens Amour, je te prends avec moi. "
    C'était un vieillard qui avait parlé.
    L'Amour se sentit si reconnaissant et plein de joie qu'il en oublia de demander son nom au vieillard.
    Lorsqu'ils arrivèrent sur la terre ferme, le vieillard s'en alla.
    L'Amour réalisa combien il lui devait et demanda au Savoir
    "Qui m'a aidé ?" "C'était le Temps" répondit le Savoir.
    "Le Temps ?" s'interrogea l'Amour.
    "Mais pourquoi le Temps m'a-t-il aidé ?"
    Le Savoir sourit plein de sagesse et repondit :
    "C'est parce que seul le Temps est capable de comprendre combien l'Amour est important dans la Vie."

    JE PEUX

    Si tu te crois battu, tu le seras
    Si tu n'oses pas, tu n'auras rien
    Si tu veux gagner, mais si tu t'en crois incapable,
    Il est presque certain que tu ne gagneras pas.
    Si tu crois que tu vas perdre, tu es perdu,
    Car, dans le monde, on se rend compte
    Que le succès dépend de la confiance en soi
    Tout dépend de notre état d'esprit.
    Les batailles de la vie ne sont pas gagnées
    Par les plus forts, ni les plus rapides,
    Mais par ceux qui croient en eux.
    En pensant toujours : "JE PEUX"...

    L’instant d'une pause

    Le bonheur est fait de rien
    Et de mille petites choses
    De se lever le matin
    Sans plus en chercher la cause
    De savoir que le chemin
    Parfois peut-être morose
    Et dans un sourire malin 
    Être prêt pour une pause
    Il y a des jours où tous est gris
    Et où l'on ne voudrait rien voir
    Et puis, il y a notre coeur aussi
    Qui nous conduit jusqu'au soir
    Il y a cette solitude intense 
    Qui existe et qui est là
    C'est dans ces moments je pense
    Que je peux rêver de toi
    À chercher, à tout comprendre
    Je me demande si je verrais
    Un jour les fleurs en décembre
    Et la neige en été
    Sur le site de mon cœur
    Il y a tant de va-et-vient
    Et j'en ressens la douleur
    De la nuit jusqu'au matin 
    Le bonheur est fait de rien
    Et de mille petites choses
    D'avoir ta main dans ma main
    L'instant seulement d'une pause...

    Les règles d'or de la vie

    Si vous l'avez ouvert, refermez-le.
    Si vous l'avez allumé, éteignez-le.
    Si vous l'avez déverrouillé, verrouillez-le.
    Si vous l'avez cassé, admettez-le.
    Si vous ne pouvez pas le réparer, appelez quelqu'un qui le peut.
    Si vous l'empruntez, rendez-le.
    Si vous l'appréciez, prenez-en soin.
    Si vous faites un gâchis, nettoyez-le.
    Si vous le déplacez, replacez-le.
    Si ce n'est pas de vos affaires, ne posez pas de questions.
    Si cela peut illuminer la journée de quelqu'un, dites-le.
    Si cela peut ternir la réputation de quelqu'un, taisez-vous. 


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  •  

     Le temps... Bonne journée...

    Parce qu'il faut toujours prendre son temps..., voici un petit texte à méditer, en vous souhaitant ,une belle journée...

    bisous de Véro...

    Le Temps

    Supposons qu'une banque dépose dans votre compte,
    chaque matin, un montant de 86,400$.
    Elle ne garderait aucun solde d'une journée à l'autre.
    Chaque soir, on effacerait tout ce que
    vous n'auriez pas utilisé durant le jour.
    Que feriez-vous?
    Retirer jusqu'au dernier sou, bien sûr!!!!

    Chacun de nous a une telle banque.
    Son nom est le TEMPS.
    Chaque matin, on dépose à votre compte, 86,400 secondes.
    Chaque soir, on efface tout ce que vous n'avez pas utilisé
    pour accomplir ce qu'il y a de mieux.
    Il ne reste rien au compte.
    Vous ne pouvez pas aller dans le rouge.

    Chaque jour, un nouveau dépôt est fait.
    Chaque soir, le solde est éliminé.
    Si vous n'utilisez pas tout le dépôt de la journée,
    vous perdez ce qui reste.
    Rien ne sera remboursé.
    On ne peut pas emprunter sur « demain ».
    Vous devez vivre avec le présent avec le dépôt d'aujourd'hui.
    Investissez-le de façon à obtenir le maximum
    en santé, bonheur et succès!
    L'horloge avance.
    Faites le maximum aujourd'hui.

    Pour réaliser la valeur d'UNE ANNÉE,
    demandez à un étudiant qui a doublé son année.

    Pour prendre conscience de la valeur d'UN MOIS,
    demandez à une mère qui a accouché prématurément. 

    Pour connaître la valeur d'UNE SEMAINE,
    demandez à l'éditeur d'un hebdomadaire.

    Pour connaître la valeur d'UNE HEURE,
    demandez aux amoureux qui sont temporairement séparés. 

    Pour comprendre la valeur d'UNE MINUTE,
    demandez à une personne qui a manqué son train.

    Pour réaliser la valeur d'UNE SECONDE,
    demandez qui vient juste d'éviter un accident.

    Pour comprendre la valeur d'UNE MILLISECONDE,
    demandez à celui ou celle qui a gagné
    une médaille d'argent aux Olympiques.

    Apprécions chaque moment que nous avons!
    Et apprécions-le plus quand nous le partageons
    avec quelqu'un de spécial,
    assez spécial pour avoir besoin de votre temps.
    Et rappelons-nous que le temps n'attend après personne.

    HIER fait partie de l'histoire.
    DEMAIN demeure un mystère.
    AUJOURD'HUI est un cadeau.
    C'est pour ça qu'on dit que c'est le PRÉSENT !!


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  •  

    Rêver.. Bonne journée...

    Avant l'année nouvelle, il est toujours temps de rêver, en vous souhaitant une belle journée... pleine de rêves... bises de Véro et bonne visite...

    Rêver...

     

    (texte trouvé sur le net)...

     

    Le seul fait de rêver est déjà très important,

    Je vous souhaite des rêves à n’en plus finir,

    Et l’envie furieuse d’en réaliser quelques- uns,

    Je vous souhaite d’aimer ce qu’il faut aimer,

    Je vous souhaite d’oublier ce qu’il faut oublier,

    Je vous souhaite des chants d’oiseaux au réveil,

    Je vous souhaite des rires d’enfants,

    Je vous souhaite des silences,

    Je vous souhaite de résister à l’enlisement,

    À l’indifférence, aux vertus négatives de notre époque.

    Je vous souhaite surtout d’être vous.


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  • Que la Fête de Noël, vous apporte tout ce que vous desirez : bien du plaisir et des surprises,

     
    Que Noël soit l'aube d'une année de bonheur... 


    à tous et toutes, je vous souhaite un très Joyeux Noël...


     

    bises de Véro...

     


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  • Petits Poèmes et Citations de Noël, en attendant ce grand jour de Fête...

    quelques petits mots, citations et poèmes de Noël (trouvé sur le net)... en attendant ce grand jour de Fête...

    En vous souhaitant une belle journée à J-3

    bisous bisous...

    Petits Poèmes et Citations de Noël, en attendant ce grand jour de Fête...

    Petits Poèmes et Citations de Noël, en attendant ce grand jour de Fête...

    Petits Poèmes et Citations de Noël, en attendant ce grand jour de Fête...

    Petits Poèmes et Citations de Noël, en attendant ce grand jour de Fête...

    Petits Poèmes et Citations de Noël, en attendant ce grand jour de Fête...

    Petits Poèmes et Citations de Noël, en attendant ce grand jour de Fête...

    Petits Poèmes et Citations de Noël, en attendant ce grand jour de Fête...

    Petits Poèmes et Citations de Noël, en attendant ce grand jour de Fête...

    Petits Poèmes et Citations de Noël, en attendant ce grand jour de Fête...

    Petits Poèmes et Citations de Noël, en attendant ce grand jour de Fête...

    Petits Poèmes et Citations de Noël, en attendant ce grand jour de Fête...

    Petits Poèmes et Citations de Noël, en attendant ce grand jour de Fête...

    Petits Poèmes et Citations de Noël, en attendant ce grand jour de Fête...

    Petits Poèmes et Citations de Noël, en attendant ce grand jour de Fête...

    Petits Poèmes et Citations de Noël, en attendant ce grand jour de Fête...

    Petits Poèmes et Citations de Noël, en attendant ce grand jour de Fête...

    Petits Poèmes et Citations de Noël, en attendant ce grand jour de Fête...


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  • En attendant Noël, voici un petit texte du net, à méditer, en vous souhaitant une belle journée...

    bonne visite, bisous à tous et toutes...

    Les yeux de l'âme...

     

    Deux hommes, tous les deux gravement malades,
    occupaient la même chambre d'hôpital…
    L'un d'eux devait s'asseoir dans son lit
    pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les sécrétions de ses poumons.
    Son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre.
    L'autre homme devait passer ses journées couché sur le dos.
    Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures.
    Ils parlaient de leurs épouses et familles, décrivaient leur maison, leur travail,
    leur participation dans le service militaire et les endroits où ils étaient allés en vacances.
    Et chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir,
    il passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors.
    L'homme dans l'autre lit commença à vivre pour ces périodes d'une heure
    où son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur.

    De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac.
    Les canards et les cygnes jouaient sur l'eau
    tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux modèles réduits.

    Les amoureux marchaient bras dessus, bras dessous,
    parmi des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel.
    De grands arbres décoraient le paysage et
    on pouvait apercevoir au loin la ville se dessiner.
    Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails,
    l'homme de l'autre côté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque.

    Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade
    qui passait par là. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre,
    il pouvait le voir avec les yeux de son imagination,
    tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante.
    Les jours et les semaines passèrent. Un matin, à l'heure du bain,
    l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre,
    mort paisiblement pendant son sommeil.

    Attristée, elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps.

    Dès qu'il sentit le moment approprié, l'autre homme demanda
    s'il pouvait être déplacé à côté de la fenêtre.
    L'infirmière, heureuse de lui accorder cette petite faveur, s'assura
    de son confort, puis le laissa seul. Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu,
    en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'œil dehors.
    Enfin il aurait la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit.
    Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit.
    Or tout ce qu'il vit, fut…un mur!

    L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé
    lui avait dépeint une toute autre réalité.
    L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait voir le mur.
    " Peut-être a-t-il seulement voulu vous encourager, " commenta-t-elle.

     

    ÉPILOGUE…

    Il y a un bonheur extraordinaire à rendre d'autres heureux,
    en dépit de nos propres épreuves. La peine partagée réduit de moitié la douleur mais…le bonheur, une fois partagé, s'en trouve doublé.
    Si vous voulez vous sentir riche, vous n'avez qu'à compter,
    parmi toutes les choses que vous possédez, celles que l'argent ne peut acheter.

     


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    Publié le 15/12/2011 à 17:37 par stevero

     

    En attendant Noël, je vous propose une autre lettre (trouvé sur le net), pas d'humour aujourd'hui, juste

    une petite lettre à méditer...

    en vous souhaitant une belle journée...

    bises de Véro et Bonne visite...

     

    Lettre d'un enfant à ses parents séparés


    Chère Maman et cher Papa,


    N'oubliez jamais: je suis l'enfant de vous deux. Maintenant, je n'ai plus qu'un parent avec lequel je vis et qui me consacre apparemment le plus de temps. Mais j'ai besoin aussi bien de l'un que de l'autre.


    Ne me demandez pas si j'aime plus l'un que l'autre. Je vous aime tous les deux tout autant. Ne critiquez pas l'autre devant moi, car cela me fait mal.


    Aidez-moi à maintenir le contactavec celui d'entre vous chez qui je ne suis pas tout le temps. Formez son numéro de téléphone pour moi, ou écrivez-moi son adresse sur une enveloppe et d'utiliser mon email ou ma webcam.

    Aidez-moi, à Noël ou à l'occasion de son anniversaire, de lui confectionner ou de lui acheter un beau cadeau. De mes photos, faîtes-en toujours une copie pour l'autre.


    Conversez comme des adultes. Et ne m'utilisez pas comme messager entre vous - encore moins pour des messages qui rendront l'autre triste ou furieux.

    Ne soyez pas triste quand je vais chez l'autre. Celui que je quitte ne doit pas penser que je l'aimerai plus d'ici quelques jours ou quelques heures. Je préférerais toujours être avec vous deux. Mais je ne peux pas me couper en deux - seulement parce que notre famille s'est déchirée.

    Ne prévoyez jamais rien durant le temps qui m'appartient avec l'autre. Une partie de mon temps est à ma Maman et à moi; une partie de mon temps est à mon Papa à moi. Soyez compréhensifs.

    Ne soyez ni étonnés ni fâchés quand je suis chez l'autre et que je ne donne pas de nouvelles. J'ai maintenant deux maisons. Et je dois les distinguer - sinon je ne m'y retrouve plus du tout.

    Ne me passez pas à l'autre, à la porte de la maison, comme un paquet. Invitez l'autre pour un court instant à l'intérieur et conversez comment vous pouvez me faciliter la vie. Quand je suis recherché ou ramené, laissez-moi un court instant avec vous deux. Ne détruisez pas ce moment en vous fâchant ou en vous disputant.

    Laissez-moi être ramené par quelqu'un d'autre de la Maternelle ou chez des amis si vous ne pouvez supporter le regard de l'autre.

    Ne vous disputez pas devant moi. Soyez au moins aussi polis que vous le seriez avec d'autres personnes, comme vous l'exigez aussi de moi.

    Ne me racontez pas des choses que je ne peux pas comprendre. Discutez-en avec d'autres adultes, mais pas avec moi; mais ne me laissez pas sans explications quand j'en ai besoin, je n'imaginerai pas le pire.


    Laissez-moi amener mes amis chez tous les deux. Je souhaite qu'ils puissent connaître ma Maman et mon Papa et les trouver sympas.

    Mettez-vous d'accord au sujet de l'argent. Je ne souhaite pas que l'un en ait beaucoup et l'autre très peu. Il faut que ce soit bien pour tous les deux, ainsi je pourrai être à l'aise chez tous les deux.

    N'essayez pas de m'habituer à la surenchère. De toute façon, je ne pourrais jamais manger tout le chocolat que j'aimerais.

    Dites-moi franchement s'il vous arrive de ne pas pouvoir boucler le budget. Pour moi, le temps est bien plus important que l'argent. Je m'amuse bien plus avec un jouet simple et comique qu'avec un nouveau jouet

    .
    Ne soyez pas toujours "actifs" avec moi. Cela ne doit pas toujours être quelques choses de fou ou de neuf quand vous faites quelque chose avec moi. Pour moi, le plus beau c'est quand nous sommes simplement heureux en train de jouer et que nous ayons un peu de calme.

    Laissez le plus possible de choses identiques dans ma vie, comme c'était avant la séparation. Cela commence par ma chambre, ensuite sur les petites choses que j'ai faites tout seul avec mon Papa ou ma Maman.


    Soyez aimable avec les grands-parents - même si lors de leur propre séparation ils penchaient pour leur propre enfant. Vous seriez aussi à mes côtés si je n'allais pas bien! Je ne veux pas perdre, en plus, mes grands-parents.


    Soyez "fairplay" avec le nouveau compagnon que l'un d'entre vous rencontre ou a déjà rencontré. Je dois aussi m'entendre avec ces autres personnes. Je préfère quand vous ne vous espionnez pas l'un l'autre. Ce serait de toute façon mieux pour moi si vous rencontriez rapidement tous les deux quelqu'un que vous aimiez. Vous ne seriez plus aussi fâchés l'un envers l'autre.


    Soyez optimistes. Vous n'avez pu gérer votre couple - mais laissez au moins le temps que cela se passe ensuite bien. Relisez toutes mes demandes. Peut-être en discuterez-vous. Mais ne vous chamaillez pas. N'utilisez pas mes demandes pour faire des reproches à l'autre, aussi mal qu'il ait pu être avec moi. Si vous ne faites pas cela, vous n'aurez pas compris comment je me sens et ce dont j'ai besoin pour me sentir heureux.

     


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    en attendant Noël, une petite lettre (trouvée sur le net), un peu

    en attendant Noël, une petite lettre (trouvée sur le net), un peu d'humour pour vous souhaiter une belle journée...

    bisous et bonne visite...

     

    Lettre aux riches...

    Chers gens riches,

    Mettons tout de suite les choses au point : je sais que vous êtes dans une situation délicate car en France personne ne vous aime. C’est vrai que la partie pauvre de la population ne peut pas vous blairer alors qu’elle n’a qu’une idée en tête, vous ressembler. L’autre partie riche vous hait, la plupart du temps parce qu’elle n’a pas conscience de faire partie de votre club et ainsi elle est assez tarte pour se détester elle-même.

    Il y a donc une chance pour que vous lisiez ce courrier sans savoir qu’il vous concerne.

    Voilà, je voudrais savoir si vous auriez des conseils à me donner car j’ai besoin de fonds.

    En effet, je suis à la recherche d’une inactivité lucrative afin de financer la poursuite de mon oisiveté. Aussi, vous comprendrez que je cherche les conseils de riches, mais qui en plus n’en foutent pas une ramée.

    Madame, Monsieur, Chers gens riches, je crois dur comme fer à ce concept d’inactivité créatrice de richesse, puisque l’inverse existe, la preuve : le travail au SMIC ou (mieux encore) les stages en entreprise. C’est la théorie des contraires, si on peut ne rien gagner en bossant, on doit pouvoir se faire de l’or en barre en bullant.

    Ne me dites pas que vous n’avez pas un truc, tout le monde en a un. En ce qui me concerne, j’ai tenté le congé sabbatique. Ça marchait pour le concept « oisiveté », mais pas pour le « lucratif ». Ce détail me chagrine énormément, d’où ma requête auprès de vous.

    Pourtant, je sens que je touche au but : je viens de placer 100€ sur un PEL alors que je ne gagne rien. Imaginez ce que je pourrais faire si je gagnais rien qu’un peu plus.

    J’estime qu’à cinq millions placés, je serai tirée l’affaire. Pas plus ! au-delà, je courrai le risque de m’auto-détester, de continuer à voter à gauche pour me faire croire à moi-même que j’ai envie de partager. Je déclarerai fièrement combien je juge indispensable de contribuer à la répartition des richesses en m’acquittant de mes impôts tout en prenant rendez-vous avec un conseiller en optimisation fiscale afin de baisser leur montant. Et puis je m’indignerai de ces villes qui ne respectent pas leur quota de logements sociaux depuis mon loft dont la vue n’offre aucune tour à l’horizon. J’adorerai vivement les immigrés de tout bord mais n’en fréquenterai jamais la queue d’un. Ce sera formidable.

     Je n’aurai pas assez de temps pour ne pas réaliser tout ce que j’ai décidé de ne pas faire. Ce qui fera de moi la personne la moins dangereuse de la terre et c’est pourquoi vous ne risquez rien à me faire part de vos trucs et astuces.

    Je vous laisse quelques lignes pour prodiguer vos conseils :

    Action à réaliser
    …………………………………………………………………………………………………
    …………………………………………………………………………………………………
    …………………………………………………………………………………………………
    …………………………………………………………………………………………………
    …………………………………………………………………………………………………

    vos expériences réussies en la matière. Des références seront un plus.

    Gain escompté : ……………………………………………………………..euros………….centimes (j’ai laissé plus de place pour les euros pleins que pour les centimes)

    Temps d’inactivité à en tirer :………………………………………………………………………………………(à exprimer en années)

     Merci de préciser votre nom et prénom ainsi que expériences réussies en la matière. Des références seront un plus.

     

     


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  • Quelques mots, d'amour, de tendresse, entre des enfants, des parents, des amis, des mots doux, forts, de joie ou triste... des mots de nous...

     

    une semaine de lettres trouvées sur le net, des lettres...  en attendant Noël...

     

    bises de Véro, bonne visite et bonne journée...

    Combien coûte un Miracle?...

     

    Tess avait huit ans quand elle entendit sa mère et son père parler de son petit frère, Andrew. Tout ce qu'elle savait c'était qu'il était très malade et ils n'avaient plus un sous. Ils déménageraient dans un mois dans un tout petit appartement parce que son père n'avait plus d'argent pour les factures du médecin et de la maison. Seulement une chirurgie très coûteuse pourrait sauver son petit frère maintenant et il n'y avait personne pour leur prêter l'argent. Elle entendit son père chuchoter à sa mère qui était en larme et désespérée, "seulement un miracle peut le sauver maintenant." Tess alla dans sa chambre et sortit un pot en verre d'une de ses cachettes.

    Elle renversa tous les sous sur le plancher et les compta soigneusement. À trois reprises. Le total devait être exact. Pas de place pour une erreur. Soigneusement elle replaça les pièces de monnaie dans son pot et ferma le couvercle, elle sortit par la porte arrière et se rendit à la pharmacie.

    Une grande enseigne rouge d'un chef indien au-dessus de la porte. Elle attendit patiemment le pharmacien pour avoir toute son attention mais il était trop occupé. Tess croisa ses pieds de façon à faire du bruit. Rien. Elle s'éclaircit la gorge avec le bruit le plus répugnant qu'elle pouvait faire. Pas bon. Enfin elle prit 25 cents de son pot et l'a cogné sur le comptoir de verre. Cela avait marché! "Et que veux-tu?" demanda le pharmacien, "je parle à mon frère de Chicago que je n'ai pas vu depuis très longtemps," lui dit-il sans attendre une réponse à sa question. "Bien, je veux vous parler au sujet de mon frère," répondit Tess avec le même ton. "Il est vraiment, vraiment malade... et je veux acheter un miracle." "Je te demande pardon?" dit le pharmacien, "son nom est Andrew et il a quelque chose de mauvais qui grossit à l'intérieur de sa tête et mon papa dit que seulement un miracle peut le sauver maintenant, alors combien coûte un miracle?" "Nous ne vendons pas de miracle ici petite fille. 'Je suis désolé mais je ne peux pas t'aider " dit le pharmacien plus doucement. "Écoutez, j'ai l'argent pour payer.

    Si ce n'est pas assez, je trouverai le reste, dites-moi juste combien il coûte." Le frère du pharmacien était un homme grand et bien habillé. Il se pencha vers la petite fille et lui demanda, "quel genre de miracle ton frère a t-il besoin?" "Je ne sais pas," répondu Tess. "Je sais juste qu'il est vraiment malade et maman dit qu'il a besoin d'une opération. Mais mon papa ne peut pas payer, alors je veux utiliser mon argent ". "Combien tu as?" demanda l'homme de Chicago, "un dollar et onze cents," répondit Tess tout bas, "et c'est tout l'argent que j'ai, mais je peux en obtenir encore plus s'il le faut. "Bien, quelle coïncidence," a sourit l'homme. "Un dollar et onze cents, le prix exact d'un miracle pour les petits frères." Il prit l'argent dans une main et avec l'autre main il saisit sa mitaine et dit "emmène-moi où tu demeure. Je veux voir ton frère et rencontrer tes parents. Voyons si j'ai le genre de miracle dont tu as besoin."

    Cet homme bien habillé était le DR Carlton Armstrong, un chirurgien, se spécialisant dans la neuro-chirurgie. L'opération a été faite sans coûter un sous et rapidement Andrew était de retour à la maison et se portait bien. Ses parents parlaient de la série d'événements qui les avaient menés au bout de ce chemin, "cette chirurgie", chuchota sa mère, " fût un vrai miracle. Je me demande combien il aurait coûté?" Tess a sourit. Elle savait exactement combien le miracle avait coûté... un dollar et onze cents... plus la foi d'un enfant. Car les miracles ne se produisent que pour ceux qui y croient…


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  • Quelques mots, d'amour, de tendresse, entre des enfants, des parents, des amis, des mots doux, forts, de joie ou triste... des mots de nous...

     

    une semaine de lettres trouvées sur le net, des lettres...  en attendant Noël...

     

    bises de Véro, bonne visite et bonne journée...

    Chaque enfant apprend par l'exemple..

     

    S'il vit entouré de critiques,... 
    il apprend à blâmer.

    S'il vit entouré d'hostilité,... 
    il apprend à être agressif.

    S'il vit entouré de moquerie,... 
    il apprend à être timide.

    S'il vit entouré de honte,... 
    il apprend à se sentir coupable.

    S'il vit entouré de tolérance,...
    il apprend à être patient.

    S'il vit entouré d'encouragement,... 
    il apprend à agir.

    S'il vit entouré d'éloges,... 
    il apprend à complimenter.

    S'il vit entouré de probité,... 
    il apprend à être juste.

    S'il vit entouré de sécurité,... 
    il apprend à faire confiance.

    S'il vit entouré d'approbation,... 
    il apprend à s'accepter.

    S'il vit entouré d'amitié,... 
    il apprend à aimer la vie.


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  • En Attendant Noël... J-16... Bonne Journée...

    L'histoire de la Boîte à Baisers...

     

    " Il y a de cela plusieurs années, un père punit sa fillette de 3 ans pour avoir inutilement dépensé un rouleau de papier doré. L'argent se faisait rare et il ne put supporter que la fillette utilise le papier pour décorer une boite à cadeau pour occuper le dessous de l'arbre de Noël. Le lendemain matin, la petite enfant apporta le cadeau à son père en lui disant : "C'est pour toi Papa ! ".

    Embarrassé, son père regretta sa trop vive réaction. Toutefois, elle se raviva et ne fit qu'empirer quand il découvrit que la boite était vide. Il cria alors à sa fille "Ne sais-tu pas qu'en offrant un paquet-cadeau, il doit toujours y avoir quelque chose dans la boite? ". La fillette regarda son père les yeux pleins d'eau et lui dit: Mais papa, la boite n'est pas vide, je l'ai remplie de baisers, juste pour toi!!". Le père était chaviré. Il enlaça sa fille, la priant de lui pardonner sa réaction.

    Peu de temps après, un accident vint faucher la fillette. Le père garda longtemps la boite, tout près de son lit. A chaque fois que le découragement l'assaillait, il prenait la boite, en tirait un baiser imaginaire et se rappelait l'amour que l'enfant y avait mis.

    Au fond, cette fable nous rappelle qu'il est donné à chacun
    de nous, comme humain, de disposer d'une telle boite dorée, remplie d'amour inconditionnel et de baisers de nos enfants, de nos ami(e)s, de notre famille ou de Dieu. Existe-t-il de plus grands cadeaux ?

    en vous souhaitant un bon vendredi et un bon Week-end... plein de bisous...

     

    En Attendant Noël... J-16... Bonne Journée...

    Quelques mots, d'amour, de tendresse, entre des enfants, des parents, des amis, des mots doux, forts, de joie ou triste... des mots de nous...

     

    une semaine de lettres trouvées sur le net, des lettres...  en attendant Noël...

     

    bises de Véro, bonne visite et bonne journée...

    Lettre d’un enfant à sa mère atteinte d’Alzheimer

    Dans le Silence De ta Mémoire...

    Toi
    Qui s’éloigne de plus en plus
    Dans le Silence et dans le noir
    Tu deviens ta propre inconnue
    Il y a des trous dans ta Mémoire
    Je me sens seule et perdue
    Tu ne me reconnais plu
    Je ne fais plus partie de ton histoire

    Toi
    Que j’ai connu jadis
    En des Temps plus Heureux
    Ton regard n’était jamais triste
    Mais Maintenant
    C’est la mort dans tes yeux
    Comment peuvent tomber dans l’oubli
    Ceux à qui on a déjà donné la vie

    Toi
    Qui ne me reconnais plus
    Souviens-toi pourtant
    Tu m’as déjà prise dans tes bras
    Et je t’ai déjà appelé Maman
    Je voudrais revoir ton Sourire comme avant
    Mais on a volé nos plus Beaux Souvenirs
    Depuis , tout est devenu Néant

    Toi
    À qui j’aurais tant de choses à dire
    Avant qu’on tourne tristement la page
    Quand je te vois souffrir
    J’ai tellement mal
    Il n’y a que des ombres sur ton visage
    On a volé le souvenir
    De ma plus belle image
    On a prit ta vie
    Pour la mettre en cage

    Toi
    Qui connaissais tant de gens
    Te voilà désormais seule
    Mais déjà ta vie
    En a fait le deuil
    Petite femme si fragile
    Prisonnière d’une maladie
    Qui cruellement
    Te plonge dans l’oubli

    Toi
    Qui aimais tant sourire
    Tu ne reconnais plus tes Souvenirs
    Ton regard doucement
    S’est assombri
    Depuis dans ta mémoire
    C’est déjà la nuit
    Si tu savais le tourment
    De ne plus être reconnue
    De sa Maman

    Toi
    Qui semble si seule
    Ce soir
    Tu n’as plus de larme
    Pour pleurer
    Tes souvenirs
    Se sont effacés
    Je ne vois que des Silences Dans ta Mémoire
    Même ton regard
    M’est devenu Étranger
    Je voudrais tuer cette maladie
    Qui tient ta vie en sursis

    Toi
    Que je rêve de prendre
    Dans mes bras
    Depuis si longtemps déjà
    Ce soir
    Je te fais un cadeau
    Je laisse tomber
    Les virgules et les mots
    Et je te rejoins
    Dans ton monde à toi
    Je ferme tendrement les yeux
    Et de tout mon cœur
    Je fais le vœu
    Qu’un jour dans l’au-delà
    Peut-être que tu me reconnaîtras

    J’ai Écris ce texte avec tout mon cœur
    Je comprend votre douleur
    Face à cette terrible maladie
    Qui plonge ceux qu’on aime
    Dans l’oubli

    L’Alzheimer


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  • En Attendant Noël... J-17... Bonne Journée...

    Quelques mots, d'amour, de tendresse, entre des enfants, des parents, des amis, des mots doux, forts, de joie ou triste... des mots de nous...

     

    une semaine de lettres trouvés sur le net, des lettres...  en attendant Noël...

     

    bises de Véro, bonne visite et bonne journée...

    Il y a des récits parfois qu'on écrit avec les mains...
    D'autres avec le cœur.
    Et, comme celui ci, avec des larmes, les miennes,
    car il s'agit de moi...
    de ma vie...

      

    Lettre à mon père...  

     

     Te souviens-tu papa de moi quand j'étais enfant......Te souviens-tu papa de mon petit cœur d'enfant
    qui était si fragile....
    Te souviens-tu papa de celui de mes frères et sœurs... Te souviens-tu papa de ce qu'a été notre enfance....
    Te souviens-tu papa des pleurs et des cris
    qui résonnaient dans la maison...
    Te souviens-tu papa des pleurs de notre mère,
    la pauvre, dont les cris et les larmes
    nous transperçaient le cœur quand tu la battais........
    Te souviens-tu papa de tes enfants qui te suppliaient de cesser à coup de cœurs meurtris et déchirés...
    à grands flots de larmes et d'incrédulité...
    Te souviens-tu papa des trottoirs gelés sur lesquels je m'enfuyais pied nus pour aller chercher les policiers afin qu'ils te calment...
    Te souviens-tu de l'immense boule que j'avais dans l'estomac quand ils repartaient et que tu t'en prenais à un gamin de moins de cinq ans... à mes frères, des bébés,
    et à mes sœurs effrayées....
    Te souviens-tu papa des soirs d'hiver où nous devions se terrer sous les lits et dans les placards
    le temps que tu cuves ta bière et ta violence....
    Te souviens-tu papa des coups de pieds et des coups de poing que tu donnais à notre mère qui, que Dieu la garde, devait te servir, toi le roi des pères et les six enfants qu'elle chérissait...
    Te souviens tu papa d'avoir si souvent bu
    pour être ce que tu étais...
    Te souviens-tu papa de la fois où les médecins t'ont enfermé pour une dépression, supposément... et que moi, ma sœur aînée et ma sœur cadette, avions été placés a Louiseville
    sur une ferme.....
    Te souviens-tu papa des mauvais traitements
    que nous avons reçus à cet endroit...
    Te souviens-tu du fouet que je recevais
    souvent sans raison et de mes sœurs qui pleuraient...
    Te souviens-tu papa de la déchirure que ça a causé à notre pauvre mère quand des travailleurs sociaux lui ont enlevé ses trois plus jeunes... ses amours de petits anges dont le cœur avait été broyé à jamais par la violence que tu avais et l'alcool que tu buvais...
    Te souviens-tu papa que ta propre mère,
    notre grand-mère, était venue nous chercher
    pour nous ramener à Montréal.
    Te souviens-tu papa de ta supposée guérison quand tu étais
    revenu toi aussi avec maman... à la maison...
     
     

     

     te souviens-tu
    que tu n'était pas guéri.. te souviens-tu que tout avais
    recommencé sans que rien n'ait changé...
    Te souviens-tu papa que des enfants qui voient leur mère
    pleurer et battue ont à jamais des blessures sur le coeur
    qui ne cicatriserons qu'a leurs décès.

    Te souviens-tu papa de mon adolescence, quand j'avais seize ans et que j'ai mis six balles dans ma carabine et que je l'ai placée dans un coin de ma chambre parce que je voulais en finir avec toi cette soirée là.....

    Oui papa, moi je me souviens être rendu si brimé dans ma vie et avoir eu un si grand désespoir qui me suivait depuis ma naissance que ce soir-là j'ai voulu en finir avec toi et que je voulait te tuer...Un fils qui tue sont père...quel gâchis de la vie...quelle bêtise.

    Savais-tu papa que ce soir là quand j'ai eu seize ans et quand tu as voulu t'en prendre à maman encore une fois et que je t'ai dis de prendre la porte en donnant un violent coup de poing sur la table que, si tu ne sortais pas, je t'aurais probablement abattu de six balles.....

    Savais-tu papa que Dieu existe parce que si je ne l'ai pas fait il n'y a que lui qui pouvait m'en empêcher.

    Savais-tu papa qu'après ton départ de la maison maman est devenue un être humain et non une bête....

    Savais-tu papa à quel point tu as pu nous détruire maman et nous et laisser des marques qui me brûlent encore aujourd’hui... mes frères et sœurs sûrement aussi.......

    Savais-tu papa que, quand maman est morte il y a un dizaine d'années, que j'ai pleuré parce que je la perdais mais aussi que j'ai versé des larmes de joie parce que, sans nul doute, elle était enfin été libérée de cette vie misérable qu'elle a connue...

    Ce que tu ne sais pas papa c'est qu'en février, quand j'ai été te voir à l'hôpital et qu'un grave cancer te grugeait, que j'ai eu de la pitié pour toi et de la compassion...

    Ce que tu ne sais pas papa c'est que, ce soir là, je t'ai tout pardonné car je n'ai pas le pouvoir de te condamner.. je n'ai que la force d'aimer... celle que Dieu veut bien me donner...

    Savais-tu papa qu'à ta mort je n'ai pu verser de larmes...

    C'est que vois-tu papa...
    j'en ai peut-être trop versées quand j'était petit...

    Sans rancune Papa.......

    Je t'aime maman......

    André Julien, octobre 2001...

                            

     


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  • En Attendant Noël... J-18... Bonne Journée...

    Publié le 07/12/2011 à 11:08 par stevero
    En Attendant Noël... J-18... Bonne Journée...

    Quelques mots, d'amour, de tendresse, entre des enfants, des parents, des amis, des mots doux, forts, de joie ou triste... des mots de nous...

     

    une semaine de lettres trouvés sur le net, des lettres...  en attendant Noël...

     

    bises de Véro, bonne visite et bonne journée...

    Lettre d’un enfant de 12 ans à ses parents…

     

    Cher parents,

     Ne m’éduquez pas comme vos parents vous ont éduqués, car je suis différent de ce que vous étiez à l’époque.

    Vous pouvez m’aider en réalisant que vous devez devenir mes parents. Qui ne m’ont pas seulement conçu, mais qui m’incluent dans leur vie en tant que partenaire... C’est cela mon désir, le même que j’éprouvais à vous rejoindre, bien longtemps avant que je sois né. J’étais alors guidé par la confiance ; maintenant, j’ai besoin de votre loyauté !

    J’aimerais apprendre comment un homme peut aider un autre et ce que l’un signifie pour l’autre. Car je pressens maintenant quelle peut être la solitude de l’homme. J’aimerais apprendre comment les hommes peuvent vivre ensemble malgré leurs différences.

    Je devine le côté visible de mon corps ; celui qu’on peut toucher et décrire cache une autre face de moi-même que j’aimerais percevoir.

    J’espère que vous apprendrez à me parler de là où l’homme invisible a son origine et où brille son étoile.

    J’exprime mes questions de manière bien imparfaite. J’éprouve de l’incertitude en essayant d’expliquer ce que je sens au fond de moi-même.

    J’aimerais apprendre à vivre avec ce que vous appelez conflits, à les connaître sans éprouver de peur, le ne suis pas toujours à la recherche de réponses à mes questions, mais plutôt de l’intérêt que vous leur portez. Bien souvent vous répondez n’importe comment pour avoir la paix.

    Écoutez-moi attentivement car ma question en cache une seconde. Il vous faut beaucoup de temps pour moi.

    Les principes ne m’intéressent pas. Je pense qu’ils proviennent de l’inertie de l’habitude. Mais j’aimerais savoir comment l’on peut faire la même chose demain autrement qu’aujourd’hui, tout en gardant son identité. Vos vérités sont mes possibilités. Tout pourrait être différent el parfois je me pose la question de savoir si ce monde est mon monde et si vous êtes mes vrais parents. Donnez-moi la possibilité de me trouver en apprenant à pardonner et ne cessez pas de participer à ma recherche de ce qui est vraiment juste.

    La tolérance dépourvue d’intérêt est une lâcheté. Ne vous faites pas une image de moi, mais ayez confiance en moi, comme j’ai eu confiance en vous...


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  • En Attendant Noël... J-19... Bonne Journée...

    Publié le 06/12/2011 à 10:59 par stevero
    En Attendant Noël... J-19... Bonne Journée...

    Quelques mots, d'amour, de tendresse, entre des enfants, des parents, des amis, des mots doux, forts, de joie ou triste... des mots de nous...

     

    une semaine de lettres trouvés sur le net, des lettres...  en attendant Noël...

     

    bises de Véro, bonne visite et bonne journée...

    Une lettre d'enfant...

    Le mois dernier, Abbey, notre chienne de 14 ans, est décédée. Le lendemain de sa mort, ma petite fille de 4 ans, Meredith, ne cessait de pleurer et de nous dire à quel point elle s'ennuyait d’Abbey. Elle nous demanda si elle pouvait écrire une lettre à Dieu, pour lui dire qu’Abbey était montée au ciel, pour qu'il puisse la reconnaître. Je lui ai dit que c'était possible. Et voilà ce qu'elle lui a écrit:

    Cher Dieu, Voulez-vous S.V.P. prendre soin de mon chien Abbey? Elle est morte hier, et elle est maintenant près de vous, au ciel. Elle me manque beaucoup. Je vous remercie de m'avoir donné ce chien à aimer, même si elle est tombée malade. J'espère que vous allez jouer avec elle. Elle aime jouer à la balle et elle aime nager. Je vous envoie sa photo. Ainsi, lorsque vous la verrez, vous saurez que c’est elle. Je m'ennuie beaucoup d'elle.

    Avec amour, Meredith…

    Nous avons placé la lettre, ainsi qu'une photo d'Abbey et de Meredith, dans une enveloppe, et nous l'avons adressée à: Dieu, au ciel. Nous avons placé notre adresse de retour sur l'enveloppe. Puis, Meredith a collé plusieurs timbres sur l'enveloppe, car elle s'est dit que ça prendrait beaucoup de timbres pour livrer la lettre au ciel. Cet après-midi-là, nous avons déposé la lettre au Bureau de Poste. Quelques jours plus tard, elle me demanda si je croyais que Dieu avait reçu notre lettre. Je lui ai dit que probablement il l'avait reçue. Hier, nous avons trouvé un colis devant notre porte, adressé à Meredith. L'écriture nous était étrangère. Meredith ouvrit le colis. À l'intérieur, il y avait un livre de Mr. Rogers intitulé: "Quand un animal de compagnie meurt." Collée à l'intérieur de la couverture, il y avait la lettre que Meredith avait écrite pour Dieu. Sur l'autre page, la photo de Abbey et de Meredith, accompagnée d'un petit mot:

    Chère Meredith, Abbey est arrivée saine et sauve au Paradis. Grâce à la photo, je l'ai immédiatement reconnue. Abbey n'est plus malade. Son esprit est avec moi, tout comme elle est dans ton cœur. Elle fut très heureuse et a beaucoup aimé être ton chien. Comme nous n'avons plus besoin de notre corps au Paradis, je n'ai pas de poche pour conserver ta photo. Alors, je te la retourne dans ce petit livre, pour que tu puisses toujours te souvenir d'Abbey. Je te remercie pour la très belle lettre, et je remercie ta maman pour l'aide qu'elle t'a apportée pour l'écrire et me la poster. C'est une maman merveilleuse que tu as. Je l'avais choisie spécialement pour toi. Je t'envoie mes bénédictions et souviens-toi que je t'aime beaucoup. En passant, je ne suis pas difficile à trouver. Je suis partout où il y a de l'Amour.

    Avec Amour, Dieu ..

     

    Et que Dieu bénisse les personnes du bureau de poste pour leur vigilance et leur amour pour l’enfant. Il y a de l'Amour partout... même au Bureau de Poste...


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  • En Attendant Noël... J-20... Bonne Journée...

    Publié le 05/12/2011 à 10:49 par stevero
    En Attendant Noël... J-20... Bonne Journée...

    Quelques mots, d'amour, de tendresse, entre des enfants, des parents, des amis, des mots doux, forts, de joie ou triste... des mots de nous...

     

    une semaine de lettres trouvés sur le net, des lettres...  en attendant Noël...

     

    bises de Véro, bonne visite et bonne journée...

     

    Lettre à ma fille ...

     

    Des yeux qui naissent du cœur

    Une voix qui trahie tes peurs

    Des ambitions qui poussent le rêve à toute horizon

    Tu es ma fille, ma grande, ma fierté, mon exaltation

    Tu réussis tout ce que j'ai essayé

    Tu es brillante personne ne peut le nier

    Bientôt tu seras une femme

    L'amour devant toi posera ses armes

    Je veux te dire ce que je n'ai pas dit assez souvent

    Je t'aime comme seul l'amour d'une mère peut être grand

    J'ai en mémoire chacune des caresses que tu m'as faites

    Elles y sont gravées elles ne sont pas abstraites

    J'ai tellement besoin de savoir que tu es heureuse

    Je ne voudrais jamais te savoir anxieuse

    Mais la vie joue parfois des tours

    J'espère que tu seras forte grâce à mon amour

     

    Tu es ma perle, mon diamant

    Ce que j'ai de plus précieux mon enfant...

     

    Hélène P. ...


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  • Anniversaire... J-21...

    aujourd'hui c'est l'anniversaire de mon petit Loëvan, 4 ans, et voici son article paru sur son blog...

    bon anniversaire mon petit mec, et gros bisous...

     

    Aujourd'hui... c'est mon anniversaire...

    Publié le 04/12/2011 à 15:00 par loevanerell

     

    Coucou, aujourd'hui c'est mon anniversaire, je fête mes 4 ans

    (merci Mamie, pour ce très joli montage, avec mes voitures préférées)...

     

     

    et voilà ce que l'on mange, enfin il faut deviner ce que l'on mange, c'est Maman qui fait le repas de l'entrée au dessert...

    je vais être entouré de Ma grande soeur, son fiancé et ma petite nièce (Noëmie, Seb et Djéline)...

    de mon grand frère et sa fiancée (Dimitri et Aurélie)...

    de ma grande soeur (Enora) et ma petite soeur (Erell)...

    de Papa et Maman...

    4 ans ça se fête et on compte bien s'amuser...

     

     

    Bonne journée à tous et toutes... et gros bisous...

    de main c'est un vieux de 4 ans qui vous retrouvera...

    bisous bisous les p'tits-loups...


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  • Texte A partager

    À un dîner bénéfice, le père d'un enfant handicapé a prononcé un
    discours inoubliable. Le voici :


    On dit que Dieu fait tout avec perfection... Mais où est la
    perfection en Shay, mon fils ?
    Mon fils ne peut pas comprendre les choses comme le peuvent les
    autres enfants.
    Mon fils ne peut pas se souvenir des faits ni des chiffres comme le
    peuvent les autres enfants.
    Où est donc la perfection de Dieu ?
    Je crois, a-t-il poursuivi, qu'en créant un enfant handicapé comme
    mon fils, la perfection que cherche Dieu est comment nous
    réagissons à cet enfant...


    Voici une petite anecdote pour vous illustrer mes propos.


    Un après-midi, Shay et moi nous promenions près d'un parc ou des
    garçons que Shay connaissait jouaient au base-ball.
    Shay me dit : Penses-tu qu'ils me laisseront jouer ?
    Je savais que Shay n'est pas du tout le genre de coéquipier que les
    garçons recherchent d'habitude, mais j'espérais que l'on permette à
    Shay de jouer.
    Je demande donc à un des joueurs de champ si Shay peut participer.
    Le garçon y pense pendant quelques instants et dit :
    Nous perdons par six points et nous sommes à la huitième manche.
    Je suppose qu'il peut faire partie de notre équipe et avoir
    l'occasion de frapper au neuvième tour. Shay poussa un sourire énorme.


    On dit à Shay de mettre le gant et de prendre sa position. A la fin
    de la huitième manche, l'équipe de Shay marque quelques points mais
    traîne toujours par trois points.
    Au bout du neuvième tour, l'équipe de Shay gagne encore un point !

    L'équipe a maintenant deux retraits, les buts remplis et une chance
    de gagner le jeu. C'est au tour de Shay à frapper, risquant ainsi
    de perdre la partie !
    Chose étonnante, on lui donne le bâton. On sait sans doute que
    c'est presque impossible de gagner, car Shay ne sait ni comment
    tenir le bâton comme il le faut, ni comment frapper la balle.
    Cependant, quand Shay s'approche du marbre, le lanceur avance
    quelques pas pour lober la balle assez doucement pour que Shay
    puisse au moins toucher la balle avec le bâton.
    Shay frappe lourdement au premier lancer, sans succès. Un de ses
    équipiers vient à son aide et les deux prennent le bâton en
    attendant le prochain lancer.
    Le lanceur avance davantage et jette légèrement la balle à Shay.
    Avec son équipier, Shay frappe un roulant vers le lanceur, qui le
    ramasse. Il aurait pu facilement le lancer au premier but, éliminer
    facilement Shay et le jeu se terminerait.
    Mais voilà, le lanceur jette la balle très haut, dans le champ
    droit, loin au-delà du premier but.
    Tous se mettent à crier : Cours au premier, Shay! Cours au
    premier!"

    Jamais il n'avait eu l'occasion de courir au premier but.
    Il galope le long de la ligne de fond, tout étonné.
    Quand il atteint le premier but, le voltigeur de droite a la balle
    en main; il peut facilement la rendre au deuxième but, ce qui va
    retirer Shay qui court toujours.
    Mais il lance la balle par-dessus le troisième but et tous crient :
    Cours au deuxième! Cours au deuxième!" Les coureurs devant Shay,
    transportés de joie, encerclent les buts en route au marbre.
    Lorsque Shay s'approche du deuxième but, l'adversaire le dirige
    vers le troisième et s'exclame : Cours au troisième!"
    Quand Shay passe par le troisième, les joueurs des deux équipes le
    suivent en s'écriant ; Fais un circuit Shay!"
    Shay complète le circuit, prend pied sur le marbre et tous les
    joueurs le soulèvent sur leurs épaules. Shay est le héros !
    Il vient defaire le grand chelem et de gagner le match pour
    l'équipe!

    Ce jour-là, continue son père, les larmes au yeux, ces 18 garçons
    ont atteint leur propre niveau de la perfection de Dieu.


    Quelle belle histoire, vous dites-vous?
    Devrais-je la faire suivre ?


    Bizarre que nous transmettions des milliers de blagues par courrier et
    qu'elles se propagent, mais lorsque nous envoyons des messages au sujet
    des choix de vie, nous n'avons pas si hâte à les faire suivre...
    Bizarre que nous puissions facilement accéder aux sites obscènes et
    vulgaires du syberspace, mais quand il est question de moralité,
    cela ne nous semble pas vraiment approprié.
    Bizarre que lorsque vous faites suivre ce message (si vous décidez
    de le faire), vous n'allez probablement pas l'envoyer à un grand
    nombre de vos connaissances puisque vous n'êtes pas certain en quoi
    ils croient, ni de leur perception de vous pour le leur avoir envoyé.

    Bizarre que nous soyons plus préoccupé de ce que les autres pensent,
    mais non pas de sa perception de soi-même.


    Le paradoxe d'aujourd'hui est que :


    Nous avons la patience de construire de grands édifices mais pas de
    patience suffisante pour contrôler notre colère;

    Nous avons de larges routes, mais des points de vue étroits...
    Nous dépensons plus, mais possèdons moins;

    Nous habitons des maisons plus grandes, mais les familles sont plus petites;
    Nous jouissons de plus de commodités, mais avons moins de temps disponible;
    Nous accumulons plus de diplômes, mais faisons preuve de moins de
    logique, moins de discernement...
    Nous avons multiplié nos avoirs, mais diminué nos valeurs.
    La science permet de vivre plus longtemps, mais nous avons priorisé la
    quantité sur la qualité.

    Nous avons fait le voyage aller-retour à la lune, mais nous avons de la
    difficulté à traverser la rue pour se présenter à notre voisin...


    La technologie peut vous permettre d'expédier cette lettre à tous
    ceux que vous connaissez avec une simplicité étonnante, mais c'est
    à vous de décider si vous voulez partager ce beau texte et la
    moralité qu'il véhicule...

    Si tu ne renvoie pas cette lettre c'est que tu n'a rien compris de
    ce message..."


    FELICITATIONS A CEUX QUI ONT EU LA PATIENCE DE TOUT LIRE. LE
    BONHEUR EST PARFOIS (ET SOUVENT) FAIT DE PETITE CHOSE...
    BONNE JOURNEE A TOUTES, ET FAITES EN SORTE DE LA RENDRE MEILLEURE
    POUR VOUS ET POUR VOTRE ENTOURAGE...

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  •  

    Quelques vers de La Fontaine... aujourd'hui encore pour souhaiter une belle journée de jeudi...

    bises de véro et bonne visite...

     

    L’horoscope de Jean de la Fontaine…

     

    On rencontre sa destinée
    Souvent par des chemins qu'on prend pour l'éviter.
    Un père eut pour toute lignée
    Un fils qu'il aima trop, jusques à consulter
    Sur le sort de sa géniture
    Les diseurs de bonne aventure.
    Un de ces gens lui dit, que des Lions sur tout
    Il éloignât l'enfant jusques à certain âge ;
    Jusqu'à vingt ans, point davantage.
    Le père pour venir a bout
    D'une précaution sur qui roulait la vie
    De celui qu'il aimait, défendit que jamais
    On lui laissât passer le seuil de son Palais.
    Il pouvait sans sortir contenter son envie,
    Avec ses compagnons tout le jour badiner,
    Sauter, courir, se promener.
    Quand il fut en l'âge où la chasse
    Plaît le plus aux jeunes esprits,
    Cet exercice avec mépris
    Lui fut dépeint : mais, quoi qu'on fasse,
    Propos, conseil, enseignement,
    Rien ne change un tempérament.
    Le jeune homme, inquiet, ardent, plein de courage,
    A peine se sentit des bouillons d'un tel âge,
    Qu'il soupira pour ce plaisir.
    Plus l'obstacle était grand, plus fort fut le désir.
    Il savait le sujet des fatales défenses ;
    Et comme ce logis, plein de magnificences,
    Abondait partout en tableaux,
    Et que la laine et les pinceaux
    Traçaient de tous côtés chasses et paysages,
    En cet endroit des animaux,
    En ce autre des personnages,
    Le jeune homme s'émut, voyant peint un Lion.
    Ah ! monstre, cria-t-il, c'est toi qui me fais vivre
    Dans l'ombre et dans les fers. A ces mots, il se livre
    Aux transports violents de l'indignation,
    Porte le poing sur l'innocente bête.
    Sous la tapisserie un clou se rencontra.
    Ce clou le blesse ; il pénétra
    Jusqu'aux ressorts de l'âme ; et cette chère tête
    Pour qui l'art d'Esculape en vain fit ce qu'il put,
    Dut sa perte à ces soins qu'on prit pour son salut.
    Même précaution nuisit au poète Eschyle.
    Quelque Devin le menaça, dit-on,
    De la chute d'une maison.
    Aussitôt il quitta la ville,
    Mit son lit en plein champ, loin des toits, sous les Cieux.
    Un Aigle, qui portait en l'air une Tortue,
    Passa par là, vit l'homme, et sur sa tête nue,
    Qui parut un morceau de rocher à ses yeux,
    Etant de cheveux dépourvue,
    Laissa tomber sa proie, afin de la casser :
    Le pauvre Eschyle ainsi sut ses jours avancer.
    De ces exemples il résulte
    Que cet art, s'il est vrai, fait tomber dans les maux
    Que craint celui qui le consulte ;
    Mais je l'en justifie, et maintiens qu'il est faux.
    Je ne crois point que la nature
    Se soit lié les mains, et nous les lie encor,
    Jusqu'au point de marquer dans les cieux notre sort.
    Il dépend d'une conjoncture
    De lieux, de personnes, de temps ;
    Non des conjonctions de tous ces charlatans.
    Ce Berger et ce Roi sont sous même planète ;
    L'un d'eux porte le sceptre et l'autre la houlette :
    Jupiter le voulait ainsi.
    Qu'est-ce que Jupiter ? un corps sans connaissance.
    D'où vient donc que son influence
    Agit différemment sur ces deux hommes-ci ?
    Puis comment pénétrer jusques à notre monde ?
    Comment percer des airs la campagne profonde ?
    Percer Mars, le Soleil, et des vides sans fin ?
    Un atome la peut détourner en chemin :
    Où l'iront retrouver les faiseurs d'horoscope ?
    L'état où nous voyons l'Europe
    Mérite que du moins quelqu'un d'eux l'ait prévu ;
    Que ne l'a-t-il donc dit ? Mais nul d'eux ne l'a su.
    L'immense éloignement, le point, et sa vitesse,
    Celle aussi de nos passions,
    Permettent-ils à leur faiblesse
    De suivre pas à pas toutes nos actions ?
    Notre sort en dépend : sa course entre-suivie,
    Ne va, non plus que nous, jamais d'un même pas ;
    Et ces gens veulent au compas,
    Tracer les cours de notre vie !
    Il ne se faut point arrêter
    Aux deux faits ambigus que je viens de conter.
    Ce Fils par trop chéri, ni le bonhomme Eschyle,
    N'y font rien. Tout aveugle et menteur qu'est cet art,
    Il peut frapper au but une fois entre mille ;
    Ce sont des effets du hasard.


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  •  

    Quelques vers de La Fontaine... Bon mardi...

     

    Avec ces quelques vers de La Fontaine, je vous souhaite une belle journée de Mardi...

     

    bises et bonne visite...

     

     

     

    Les femmes et le secret…

      

    Rien ne pèse tant qu'un secret
    Le porter loin est difficile aux Dames :
    Et je sais même sur ce fait
    Bon nombre d'hommes qui sont femmes.
    Pour éprouver la sienne un mari s'écria
    La nuit étant près d'elle : O dieux ! qu'est-ce cela ?
    Je n'en puis plus ; on me déchire ;
    Quoi j'accouche d'un œuf ! - D'un œuf ? - Oui, le voilà
    Frais et nouveau pondu. Gardez bien de le dire :
    On m'appellerait poule. Enfin n'en parlez pas.
    La femme neuve sur ce cas,
    Ainsi que sur mainte autre affaire,
    Crut la chose, et promit ses grands dieux de se taire.
    Mais ce serment s'évanouit
    Avec les ombres de la nuit.
    L'épouse indiscrète et peu fine,
    Sort du lit quand le jour fut à peine levé :
    Et de courir chez sa voisine.
    Ma commère, dit-elle, un cas est arrivé :
    N'en dites rien surtout, car vous me feriez battre.
    Mon mari vient de pondre un œuf gros comme quatre.
    Au nom de Dieu gardez-vous bien
    D'aller publier ce mystère.
    - Vous moquez-vous ? dit l'autre : Ah ! vous ne savez guère
    Quelle je suis. Allez, ne craignez rien.
    La femme du pondeur s'en retourne chez elle.
    L'autre grille déjà de conter la nouvelle :
    Elle va la répandre en plus de dix endroits.
    Au lieu d'un œuf elle en dit trois.
    Ce n'est pas encore tout, car une autre commère
    En dit quatre, et raconte à l'oreille le fait,
    Précaution peu nécessaire,
    Car ce n'était plus un secret.
    Comme le nombre d'œufs, grâce à la renommée,
    De bouche en bouche allait croissant,
    Avant la fin de la journée
    Ils se montaient à plus d'un cent.

     

     


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