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Quelques mots, d'amour, de tendresse, entre des enfants, des parents, des amis, des mots doux, forts, de joie ou triste... des mots de nous...
une semaine de lettres trouvées sur le net, des lettres... en attendant Noël...
bises de Véro, bonne visite et bonne journée...
Chaque enfant apprend par l'exemple..
S'il vit entouré de critiques,...
il apprend à blâmer.S'il vit entouré d'hostilité,...
il apprend à être agressif.S'il vit entouré de moquerie,...
il apprend à être timide.S'il vit entouré de honte,...
il apprend à se sentir coupable.S'il vit entouré de tolérance,...
il apprend à être patient.S'il vit entouré d'encouragement,...
il apprend à agir.S'il vit entouré d'éloges,...
il apprend à complimenter.S'il vit entouré de probité,...
il apprend à être juste.S'il vit entouré de sécurité,...
il apprend à faire confiance.S'il vit entouré d'approbation,...
il apprend à s'accepter.S'il vit entouré d'amitié,...
il apprend à aimer la vie.
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en panne pour une durée indéterminée, j'emprunterais un autre ordi de temps à autre pour un petit coucou, mais l'heure, je vous souhaite à tous et toutes de bonnes fêtes de fin d'année...
à bientôt bisous de véro...
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L'histoire de la Boîte à Baisers...
" Il y a de cela plusieurs années, un père punit sa fillette de 3 ans pour avoir inutilement dépensé un rouleau de papier doré. L'argent se faisait rare et il ne put supporter que la fillette utilise le papier pour décorer une boite à cadeau pour occuper le dessous de l'arbre de Noël. Le lendemain matin, la petite enfant apporta le cadeau à son père en lui disant : "C'est pour toi Papa ! ".
Embarrassé, son père regretta sa trop vive réaction. Toutefois, elle se raviva et ne fit qu'empirer quand il découvrit que la boite était vide. Il cria alors à sa fille "Ne sais-tu pas qu'en offrant un paquet-cadeau, il doit toujours y avoir quelque chose dans la boite? ". La fillette regarda son père les yeux pleins d'eau et lui dit: Mais papa, la boite n'est pas vide, je l'ai remplie de baisers, juste pour toi!!". Le père était chaviré. Il enlaça sa fille, la priant de lui pardonner sa réaction.
Peu de temps après, un accident vint faucher la fillette. Le père garda longtemps la boite, tout près de son lit. A chaque fois que le découragement l'assaillait, il prenait la boite, en tirait un baiser imaginaire et se rappelait l'amour que l'enfant y avait mis.
Au fond, cette fable nous rappelle qu'il est donné à chacun
de nous, comme humain, de disposer d'une telle boite dorée, remplie d'amour inconditionnel et de baisers de nos enfants, de nos ami(e)s, de notre famille ou de Dieu. Existe-t-il de plus grands cadeaux ?en vous souhaitant un bon vendredi et un bon Week-end... plein de bisous...
Quelques mots, d'amour, de tendresse, entre des enfants, des parents, des amis, des mots doux, forts, de joie ou triste... des mots de nous...
une semaine de lettres trouvées sur le net, des lettres... en attendant Noël...
bises de Véro, bonne visite et bonne journée...
Lettre d’un enfant à sa mère atteinte d’Alzheimer
Dans le Silence De ta Mémoire...
Toi
Qui s’éloigne de plus en plus
Dans le Silence et dans le noir
Tu deviens ta propre inconnue
Il y a des trous dans ta Mémoire
Je me sens seule et perdue
Tu ne me reconnais plu
Je ne fais plus partie de ton histoireToi
Que j’ai connu jadis
En des Temps plus Heureux
Ton regard n’était jamais triste
Mais Maintenant
C’est la mort dans tes yeux
Comment peuvent tomber dans l’oubli
Ceux à qui on a déjà donné la vieToi
Qui ne me reconnais plus
Souviens-toi pourtant
Tu m’as déjà prise dans tes bras
Et je t’ai déjà appelé Maman
Je voudrais revoir ton Sourire comme avant
Mais on a volé nos plus Beaux Souvenirs
Depuis , tout est devenu NéantToi
À qui j’aurais tant de choses à dire
Avant qu’on tourne tristement la page
Quand je te vois souffrir
J’ai tellement mal
Il n’y a que des ombres sur ton visage
On a volé le souvenir
De ma plus belle image
On a prit ta vie
Pour la mettre en cageToi
Qui connaissais tant de gens
Te voilà désormais seule
Mais déjà ta vie
En a fait le deuil
Petite femme si fragile
Prisonnière d’une maladie
Qui cruellement
Te plonge dans l’oubliToi
Qui aimais tant sourire
Tu ne reconnais plus tes Souvenirs
Ton regard doucement
S’est assombri
Depuis dans ta mémoire
C’est déjà la nuit
Si tu savais le tourment
De ne plus être reconnue
De sa MamanToi
Qui semble si seule
Ce soir
Tu n’as plus de larme
Pour pleurer
Tes souvenirs
Se sont effacés
Je ne vois que des Silences Dans ta Mémoire
Même ton regard
M’est devenu Étranger
Je voudrais tuer cette maladie
Qui tient ta vie en sursisToi
Que je rêve de prendre
Dans mes bras
Depuis si longtemps déjà
Ce soir
Je te fais un cadeau
Je laisse tomber
Les virgules et les mots
Et je te rejoins
Dans ton monde à toi
Je ferme tendrement les yeux
Et de tout mon cœur
Je fais le vœu
Qu’un jour dans l’au-delà
Peut-être que tu me reconnaîtrasJ’ai Écris ce texte avec tout mon cœur
Je comprend votre douleur
Face à cette terrible maladie
Qui plonge ceux qu’on aime
Dans l’oubliL’Alzheimer
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Quelques mots, d'amour, de tendresse, entre des enfants, des parents, des amis, des mots doux, forts, de joie ou triste... des mots de nous...
une semaine de lettres trouvés sur le net, des lettres... en attendant Noël...
bises de Véro, bonne visite et bonne journée...
Il y a des récits parfois qu'on écrit avec les mains...
D'autres avec le cœur.
Et, comme celui ci, avec des larmes, les miennes,
car il s'agit de moi... de ma vie...Lettre à mon père...
Te souviens-tu papa de moi quand j'étais enfant......Te souviens-tu papa de mon petit cœur d'enfant
qui était si fragile.... Te souviens-tu papa de celui de mes frères et sœurs... Te souviens-tu papa de ce qu'a été notre enfance....Te souviens-tu papa des pleurs et des cris
qui résonnaient dans la maison...Te souviens-tu papa des pleurs de notre mère,
la pauvre, dont les cris et les larmes
nous transperçaient le cœur quand tu la battais........Te souviens-tu papa de tes enfants qui te suppliaient de cesser à coup de cœurs meurtris et déchirés...
à grands flots de larmes et d'incrédulité... Te souviens-tu papa des trottoirs gelés sur lesquels je m'enfuyais pied nus pour aller chercher les policiers afin qu'ils te calment...Te souviens-tu de l'immense boule que j'avais dans l'estomac quand ils repartaient et que tu t'en prenais à un gamin de moins de cinq ans... à mes frères, des bébés,
et à mes sœurs effrayées....Te souviens-tu papa des soirs d'hiver où nous devions se terrer sous les lits et dans les placards
le temps que tu cuves ta bière et ta violence.... Te souviens-tu papa des coups de pieds et des coups de poing que tu donnais à notre mère qui, que Dieu la garde, devait te servir, toi le roi des pères et les six enfants qu'elle chérissait...Te souviens tu papa d'avoir si souvent bu
pour être ce que tu étais...Te souviens-tu papa de la fois où les médecins t'ont enfermé pour une dépression, supposément... et que moi, ma sœur aînée et ma sœur cadette, avions été placés a Louiseville
sur une ferme.....Te souviens-tu papa des mauvais traitements
que nous avons reçus à cet endroit...Te souviens-tu du fouet que je recevais
souvent sans raison et de mes sœurs qui pleuraient... Te souviens-tu papa de la déchirure que ça a causé à notre pauvre mère quand des travailleurs sociaux lui ont enlevé ses trois plus jeunes... ses amours de petits anges dont le cœur avait été broyé à jamais par la violence que tu avais et l'alcool que tu buvais...Te souviens-tu papa que ta propre mère,
notre grand-mère, était venue nous chercher
pour nous ramener à Montréal.Te souviens-tu papa de ta supposée guérison quand tu étais
revenu toi aussi avec maman... à la maison...te souviens-tu
que tu n'était pas guéri.. te souviens-tu que tout avais
recommencé sans que rien n'ait changé...Te souviens-tu papa que des enfants qui voient leur mère
pleurer et battue ont à jamais des blessures sur le coeur
qui ne cicatriserons qu'a leurs décès.Te souviens-tu papa de mon adolescence, quand j'avais seize ans et que j'ai mis six balles dans ma carabine et que je l'ai placée dans un coin de ma chambre parce que je voulais en finir avec toi cette soirée là.....
Oui papa, moi je me souviens être rendu si brimé dans ma vie et avoir eu un si grand désespoir qui me suivait depuis ma naissance que ce soir-là j'ai voulu en finir avec toi et que je voulait te tuer...Un fils qui tue sont père...quel gâchis de la vie...quelle bêtise.
Savais-tu papa que ce soir là quand j'ai eu seize ans et quand tu as voulu t'en prendre à maman encore une fois et que je t'ai dis de prendre la porte en donnant un violent coup de poing sur la table que, si tu ne sortais pas, je t'aurais probablement abattu de six balles.....
Savais-tu papa que Dieu existe parce que si je ne l'ai pas fait il n'y a que lui qui pouvait m'en empêcher.
Savais-tu papa qu'après ton départ de la maison maman est devenue un être humain et non une bête....
Savais-tu papa à quel point tu as pu nous détruire maman et nous et laisser des marques qui me brûlent encore aujourd’hui... mes frères et sœurs sûrement aussi.......
Savais-tu papa que, quand maman est morte il y a un dizaine d'années, que j'ai pleuré parce que je la perdais mais aussi que j'ai versé des larmes de joie parce que, sans nul doute, elle était enfin été libérée de cette vie misérable qu'elle a connue...
Ce que tu ne sais pas papa c'est qu'en février, quand j'ai été te voir à l'hôpital et qu'un grave cancer te grugeait, que j'ai eu de la pitié pour toi et de la compassion...
Ce que tu ne sais pas papa c'est que, ce soir là, je t'ai tout pardonné car je n'ai pas le pouvoir de te condamner.. je n'ai que la force d'aimer... celle que Dieu veut bien me donner...
Savais-tu papa qu'à ta mort je n'ai pu verser de larmes...
C'est que vois-tu papa...
j'en ai peut-être trop versées quand j'était petit...Sans rancune Papa.......
Je t'aime maman......
André Julien, octobre 2001...
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En Attendant Noël... J-18... Bonne Journée...
Publié le 07/12/2011 à 11:08 par steveroQuelques mots, d'amour, de tendresse, entre des enfants, des parents, des amis, des mots doux, forts, de joie ou triste... des mots de nous...
une semaine de lettres trouvés sur le net, des lettres... en attendant Noël...
bises de Véro, bonne visite et bonne journée...
Lettre d’un enfant de 12 ans à ses parents…
Cher parents,
Ne m’éduquez pas comme vos parents vous ont éduqués, car je suis différent de ce que vous étiez à l’époque.
Vous pouvez m’aider en réalisant que vous devez devenir mes parents. Qui ne m’ont pas seulement conçu, mais qui m’incluent dans leur vie en tant que partenaire... C’est cela mon désir, le même que j’éprouvais à vous rejoindre, bien longtemps avant que je sois né. J’étais alors guidé par la confiance ; maintenant, j’ai besoin de votre loyauté !
J’aimerais apprendre comment un homme peut aider un autre et ce que l’un signifie pour l’autre. Car je pressens maintenant quelle peut être la solitude de l’homme. J’aimerais apprendre comment les hommes peuvent vivre ensemble malgré leurs différences.
Je devine le côté visible de mon corps ; celui qu’on peut toucher et décrire cache une autre face de moi-même que j’aimerais percevoir.
J’espère que vous apprendrez à me parler de là où l’homme invisible a son origine et où brille son étoile.
J’exprime mes questions de manière bien imparfaite. J’éprouve de l’incertitude en essayant d’expliquer ce que je sens au fond de moi-même.
J’aimerais apprendre à vivre avec ce que vous appelez conflits, à les connaître sans éprouver de peur, le ne suis pas toujours à la recherche de réponses à mes questions, mais plutôt de l’intérêt que vous leur portez. Bien souvent vous répondez n’importe comment pour avoir la paix.
Écoutez-moi attentivement car ma question en cache une seconde. Il vous faut beaucoup de temps pour moi.
Les principes ne m’intéressent pas. Je pense qu’ils proviennent de l’inertie de l’habitude. Mais j’aimerais savoir comment l’on peut faire la même chose demain autrement qu’aujourd’hui, tout en gardant son identité. Vos vérités sont mes possibilités. Tout pourrait être différent el parfois je me pose la question de savoir si ce monde est mon monde et si vous êtes mes vrais parents. Donnez-moi la possibilité de me trouver en apprenant à pardonner et ne cessez pas de participer à ma recherche de ce qui est vraiment juste.
La tolérance dépourvue d’intérêt est une lâcheté. Ne vous faites pas une image de moi, mais ayez confiance en moi, comme j’ai eu confiance en vous...
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