• Quelques mots, d'amour, de tendresse, entre des enfants, des parents, des amis, des mots doux, forts, de joie ou triste... des mots de nous...

     

    une semaine de lettres trouvées sur le net, des lettres...  en attendant Noël...

     

    bises de Véro, bonne visite et bonne journée...

    Chaque enfant apprend par l'exemple..

     

    S'il vit entouré de critiques,... 
    il apprend à blâmer.

    S'il vit entouré d'hostilité,... 
    il apprend à être agressif.

    S'il vit entouré de moquerie,... 
    il apprend à être timide.

    S'il vit entouré de honte,... 
    il apprend à se sentir coupable.

    S'il vit entouré de tolérance,...
    il apprend à être patient.

    S'il vit entouré d'encouragement,... 
    il apprend à agir.

    S'il vit entouré d'éloges,... 
    il apprend à complimenter.

    S'il vit entouré de probité,... 
    il apprend à être juste.

    S'il vit entouré de sécurité,... 
    il apprend à faire confiance.

    S'il vit entouré d'approbation,... 
    il apprend à s'accepter.

    S'il vit entouré d'amitié,... 
    il apprend à aimer la vie.


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  • en panne pour une durée indéterminée, j'emprunterais un autre ordi de temps à autre pour un petit coucou, mais l'heure, je vous souhaite à tous et toutes de bonnes fêtes de fin d'année...

    à bientôt bisous de véro...


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  • En Attendant Noël... J-16... Bonne Journée...

    L'histoire de la Boîte à Baisers...

     

    " Il y a de cela plusieurs années, un père punit sa fillette de 3 ans pour avoir inutilement dépensé un rouleau de papier doré. L'argent se faisait rare et il ne put supporter que la fillette utilise le papier pour décorer une boite à cadeau pour occuper le dessous de l'arbre de Noël. Le lendemain matin, la petite enfant apporta le cadeau à son père en lui disant : "C'est pour toi Papa ! ".

    Embarrassé, son père regretta sa trop vive réaction. Toutefois, elle se raviva et ne fit qu'empirer quand il découvrit que la boite était vide. Il cria alors à sa fille "Ne sais-tu pas qu'en offrant un paquet-cadeau, il doit toujours y avoir quelque chose dans la boite? ". La fillette regarda son père les yeux pleins d'eau et lui dit: Mais papa, la boite n'est pas vide, je l'ai remplie de baisers, juste pour toi!!". Le père était chaviré. Il enlaça sa fille, la priant de lui pardonner sa réaction.

    Peu de temps après, un accident vint faucher la fillette. Le père garda longtemps la boite, tout près de son lit. A chaque fois que le découragement l'assaillait, il prenait la boite, en tirait un baiser imaginaire et se rappelait l'amour que l'enfant y avait mis.

    Au fond, cette fable nous rappelle qu'il est donné à chacun
    de nous, comme humain, de disposer d'une telle boite dorée, remplie d'amour inconditionnel et de baisers de nos enfants, de nos ami(e)s, de notre famille ou de Dieu. Existe-t-il de plus grands cadeaux ?

    en vous souhaitant un bon vendredi et un bon Week-end... plein de bisous...

     

    En Attendant Noël... J-16... Bonne Journée...

    Quelques mots, d'amour, de tendresse, entre des enfants, des parents, des amis, des mots doux, forts, de joie ou triste... des mots de nous...

     

    une semaine de lettres trouvées sur le net, des lettres...  en attendant Noël...

     

    bises de Véro, bonne visite et bonne journée...

    Lettre d’un enfant à sa mère atteinte d’Alzheimer

    Dans le Silence De ta Mémoire...

    Toi
    Qui s’éloigne de plus en plus
    Dans le Silence et dans le noir
    Tu deviens ta propre inconnue
    Il y a des trous dans ta Mémoire
    Je me sens seule et perdue
    Tu ne me reconnais plu
    Je ne fais plus partie de ton histoire

    Toi
    Que j’ai connu jadis
    En des Temps plus Heureux
    Ton regard n’était jamais triste
    Mais Maintenant
    C’est la mort dans tes yeux
    Comment peuvent tomber dans l’oubli
    Ceux à qui on a déjà donné la vie

    Toi
    Qui ne me reconnais plus
    Souviens-toi pourtant
    Tu m’as déjà prise dans tes bras
    Et je t’ai déjà appelé Maman
    Je voudrais revoir ton Sourire comme avant
    Mais on a volé nos plus Beaux Souvenirs
    Depuis , tout est devenu Néant

    Toi
    À qui j’aurais tant de choses à dire
    Avant qu’on tourne tristement la page
    Quand je te vois souffrir
    J’ai tellement mal
    Il n’y a que des ombres sur ton visage
    On a volé le souvenir
    De ma plus belle image
    On a prit ta vie
    Pour la mettre en cage

    Toi
    Qui connaissais tant de gens
    Te voilà désormais seule
    Mais déjà ta vie
    En a fait le deuil
    Petite femme si fragile
    Prisonnière d’une maladie
    Qui cruellement
    Te plonge dans l’oubli

    Toi
    Qui aimais tant sourire
    Tu ne reconnais plus tes Souvenirs
    Ton regard doucement
    S’est assombri
    Depuis dans ta mémoire
    C’est déjà la nuit
    Si tu savais le tourment
    De ne plus être reconnue
    De sa Maman

    Toi
    Qui semble si seule
    Ce soir
    Tu n’as plus de larme
    Pour pleurer
    Tes souvenirs
    Se sont effacés
    Je ne vois que des Silences Dans ta Mémoire
    Même ton regard
    M’est devenu Étranger
    Je voudrais tuer cette maladie
    Qui tient ta vie en sursis

    Toi
    Que je rêve de prendre
    Dans mes bras
    Depuis si longtemps déjà
    Ce soir
    Je te fais un cadeau
    Je laisse tomber
    Les virgules et les mots
    Et je te rejoins
    Dans ton monde à toi
    Je ferme tendrement les yeux
    Et de tout mon cœur
    Je fais le vœu
    Qu’un jour dans l’au-delà
    Peut-être que tu me reconnaîtras

    J’ai Écris ce texte avec tout mon cœur
    Je comprend votre douleur
    Face à cette terrible maladie
    Qui plonge ceux qu’on aime
    Dans l’oubli

    L’Alzheimer


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  • En Attendant Noël... J-17... Bonne Journée...

    Quelques mots, d'amour, de tendresse, entre des enfants, des parents, des amis, des mots doux, forts, de joie ou triste... des mots de nous...

     

    une semaine de lettres trouvés sur le net, des lettres...  en attendant Noël...

     

    bises de Véro, bonne visite et bonne journée...

    Il y a des récits parfois qu'on écrit avec les mains...
    D'autres avec le cœur.
    Et, comme celui ci, avec des larmes, les miennes,
    car il s'agit de moi...
    de ma vie...

      

    Lettre à mon père...  

     

     Te souviens-tu papa de moi quand j'étais enfant......Te souviens-tu papa de mon petit cœur d'enfant
    qui était si fragile....
    Te souviens-tu papa de celui de mes frères et sœurs... Te souviens-tu papa de ce qu'a été notre enfance....
    Te souviens-tu papa des pleurs et des cris
    qui résonnaient dans la maison...
    Te souviens-tu papa des pleurs de notre mère,
    la pauvre, dont les cris et les larmes
    nous transperçaient le cœur quand tu la battais........
    Te souviens-tu papa de tes enfants qui te suppliaient de cesser à coup de cœurs meurtris et déchirés...
    à grands flots de larmes et d'incrédulité...
    Te souviens-tu papa des trottoirs gelés sur lesquels je m'enfuyais pied nus pour aller chercher les policiers afin qu'ils te calment...
    Te souviens-tu de l'immense boule que j'avais dans l'estomac quand ils repartaient et que tu t'en prenais à un gamin de moins de cinq ans... à mes frères, des bébés,
    et à mes sœurs effrayées....
    Te souviens-tu papa des soirs d'hiver où nous devions se terrer sous les lits et dans les placards
    le temps que tu cuves ta bière et ta violence....
    Te souviens-tu papa des coups de pieds et des coups de poing que tu donnais à notre mère qui, que Dieu la garde, devait te servir, toi le roi des pères et les six enfants qu'elle chérissait...
    Te souviens tu papa d'avoir si souvent bu
    pour être ce que tu étais...
    Te souviens-tu papa de la fois où les médecins t'ont enfermé pour une dépression, supposément... et que moi, ma sœur aînée et ma sœur cadette, avions été placés a Louiseville
    sur une ferme.....
    Te souviens-tu papa des mauvais traitements
    que nous avons reçus à cet endroit...
    Te souviens-tu du fouet que je recevais
    souvent sans raison et de mes sœurs qui pleuraient...
    Te souviens-tu papa de la déchirure que ça a causé à notre pauvre mère quand des travailleurs sociaux lui ont enlevé ses trois plus jeunes... ses amours de petits anges dont le cœur avait été broyé à jamais par la violence que tu avais et l'alcool que tu buvais...
    Te souviens-tu papa que ta propre mère,
    notre grand-mère, était venue nous chercher
    pour nous ramener à Montréal.
    Te souviens-tu papa de ta supposée guérison quand tu étais
    revenu toi aussi avec maman... à la maison...
     
     

     

     te souviens-tu
    que tu n'était pas guéri.. te souviens-tu que tout avais
    recommencé sans que rien n'ait changé...
    Te souviens-tu papa que des enfants qui voient leur mère
    pleurer et battue ont à jamais des blessures sur le coeur
    qui ne cicatriserons qu'a leurs décès.

    Te souviens-tu papa de mon adolescence, quand j'avais seize ans et que j'ai mis six balles dans ma carabine et que je l'ai placée dans un coin de ma chambre parce que je voulais en finir avec toi cette soirée là.....

    Oui papa, moi je me souviens être rendu si brimé dans ma vie et avoir eu un si grand désespoir qui me suivait depuis ma naissance que ce soir-là j'ai voulu en finir avec toi et que je voulait te tuer...Un fils qui tue sont père...quel gâchis de la vie...quelle bêtise.

    Savais-tu papa que ce soir là quand j'ai eu seize ans et quand tu as voulu t'en prendre à maman encore une fois et que je t'ai dis de prendre la porte en donnant un violent coup de poing sur la table que, si tu ne sortais pas, je t'aurais probablement abattu de six balles.....

    Savais-tu papa que Dieu existe parce que si je ne l'ai pas fait il n'y a que lui qui pouvait m'en empêcher.

    Savais-tu papa qu'après ton départ de la maison maman est devenue un être humain et non une bête....

    Savais-tu papa à quel point tu as pu nous détruire maman et nous et laisser des marques qui me brûlent encore aujourd’hui... mes frères et sœurs sûrement aussi.......

    Savais-tu papa que, quand maman est morte il y a un dizaine d'années, que j'ai pleuré parce que je la perdais mais aussi que j'ai versé des larmes de joie parce que, sans nul doute, elle était enfin été libérée de cette vie misérable qu'elle a connue...

    Ce que tu ne sais pas papa c'est qu'en février, quand j'ai été te voir à l'hôpital et qu'un grave cancer te grugeait, que j'ai eu de la pitié pour toi et de la compassion...

    Ce que tu ne sais pas papa c'est que, ce soir là, je t'ai tout pardonné car je n'ai pas le pouvoir de te condamner.. je n'ai que la force d'aimer... celle que Dieu veut bien me donner...

    Savais-tu papa qu'à ta mort je n'ai pu verser de larmes...

    C'est que vois-tu papa...
    j'en ai peut-être trop versées quand j'était petit...

    Sans rancune Papa.......

    Je t'aime maman......

    André Julien, octobre 2001...

                            

     


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  • En Attendant Noël... J-18... Bonne Journée...

    Publié le 07/12/2011 à 11:08 par stevero
    En Attendant Noël... J-18... Bonne Journée...

    Quelques mots, d'amour, de tendresse, entre des enfants, des parents, des amis, des mots doux, forts, de joie ou triste... des mots de nous...

     

    une semaine de lettres trouvés sur le net, des lettres...  en attendant Noël...

     

    bises de Véro, bonne visite et bonne journée...

    Lettre d’un enfant de 12 ans à ses parents…

     

    Cher parents,

     Ne m’éduquez pas comme vos parents vous ont éduqués, car je suis différent de ce que vous étiez à l’époque.

    Vous pouvez m’aider en réalisant que vous devez devenir mes parents. Qui ne m’ont pas seulement conçu, mais qui m’incluent dans leur vie en tant que partenaire... C’est cela mon désir, le même que j’éprouvais à vous rejoindre, bien longtemps avant que je sois né. J’étais alors guidé par la confiance ; maintenant, j’ai besoin de votre loyauté !

    J’aimerais apprendre comment un homme peut aider un autre et ce que l’un signifie pour l’autre. Car je pressens maintenant quelle peut être la solitude de l’homme. J’aimerais apprendre comment les hommes peuvent vivre ensemble malgré leurs différences.

    Je devine le côté visible de mon corps ; celui qu’on peut toucher et décrire cache une autre face de moi-même que j’aimerais percevoir.

    J’espère que vous apprendrez à me parler de là où l’homme invisible a son origine et où brille son étoile.

    J’exprime mes questions de manière bien imparfaite. J’éprouve de l’incertitude en essayant d’expliquer ce que je sens au fond de moi-même.

    J’aimerais apprendre à vivre avec ce que vous appelez conflits, à les connaître sans éprouver de peur, le ne suis pas toujours à la recherche de réponses à mes questions, mais plutôt de l’intérêt que vous leur portez. Bien souvent vous répondez n’importe comment pour avoir la paix.

    Écoutez-moi attentivement car ma question en cache une seconde. Il vous faut beaucoup de temps pour moi.

    Les principes ne m’intéressent pas. Je pense qu’ils proviennent de l’inertie de l’habitude. Mais j’aimerais savoir comment l’on peut faire la même chose demain autrement qu’aujourd’hui, tout en gardant son identité. Vos vérités sont mes possibilités. Tout pourrait être différent el parfois je me pose la question de savoir si ce monde est mon monde et si vous êtes mes vrais parents. Donnez-moi la possibilité de me trouver en apprenant à pardonner et ne cessez pas de participer à ma recherche de ce qui est vraiment juste.

    La tolérance dépourvue d’intérêt est une lâcheté. Ne vous faites pas une image de moi, mais ayez confiance en moi, comme j’ai eu confiance en vous...


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