• je vous offre ces légendes Bretonnes, un petit peu de lecture pour le WE, en vous souhaitant une bonne journée... gros breizhous à tous et toutes...

     

    La légende des menhirs de Lagatjar…

     

     

    Ewen, un simple travailleur n'avait pas grande fortune.

    Et comme il était tombé amoureux de la fille d'un marchand qui habitait Camaret, Ewen était prêt à tout pour rendre la belle Marie-Jeanne heureuse!

    Un beau jour, un compère lui proposa une affaire.

    Ewen aurait dû se méfier, car l'homme , nommé Jakez, était un colporteur doté d'une bien mauvaise réputation... . Ewen n'avait jamais su choisir ses amis!...Mais revenons-en aux faits:

    Jakez qui avait abusé de la crédulité du curé , avait découvert dans les archives de la paroisse, le secret du "Grand Jour des Pierres":

    Tous les cents ans, les menhirs de Lagatjar se déplaçaient pour aller s'abreuver dans la mer et pendant leur absence, on pouvait aisément s'emparer des trésors qu'ils cachaient à leurs pieds. Il fallait juste filer avant que les menhirs ne regagnent leur place!

     

     

    Et justement, selon Jakez, ce fameux jour devait être à la fin de cette semaine.

    Lui et Ewen décidèrent donc de se retrouver le jour-dit, aux pierres de Lagatjar. Jakez s'était toute fois bien gardé de dire à Ewen que si l'on voulait profiter de ces trésors, il fallait les échanger contre une âme chrétienne... et celle de Ewen convenait parfaitement!...héhé!

    Jakez avait également pris avec lui un trèfle à 5 feuilles qui devrait le protéger des démons!.

    Le jour venu, nos deux compères se retrouvèrent sur les lieux, quand les douze coups de minuit sonnèrent! La lune était pleine, et soudain, le sol se mit à trembler, les pierres sortirent de la terre dans un grondement inquiétant, et, s'élevant dans les airs, elles rejoignèrent la mer.

     

     

    Ewen et Jakez se précipitèrent vers les trous pour amasser tous les trésors.

    Mais voici que déjà, les menhirs étaient de retour, et les deux hommes s'enfuirent, mais Ewen, terrorisé et tremblant tomba à genoux et se mit à prier!

    Jakez, lui, s'était arreté, portant sur lui le fameux trèfle qui devrait le protéger!..

    Mais lorsqu'il fouilla ses poches en quête de son talisman, il ne trouva rien! paniqué, il prit la fuite, mais dans sa panique, il tomba dans un trou, et avant qu'il ne puisse se relever, l'une des pierres reprit sa place et écrasa Jakez dans un craquement sinistre!..

    Ewen, après un long moment d'attente et de prières, releva enfin la tête. Les pierres avaient toutes regagné leur place.

    Ewen s'éloigna au plus vite. Les menhirs l'avaient épargné sans doute à cause de son innocence, dit-on!

    Il possédait désormais un grande fortune, et épousa Marie-Jeanne.

    Depuis cette tragique histoire, on appela cet endroit...: "Le jardin de l'Ankou!"

     

     

    Conte Breton...

     

     

    Peut-être avez vous déjà entendu des bruits sourds, près des ruisseaux, la nuit. Comme des coups de battoir sur le linge. Alors, passez votre chemin bonnes gens, et ne cherchez pas à savoir d'où vient ce bruit : se sont les lavandières de nuit.

    Guillo, c'est le bon à rien du village, paresseux du soir au matin. Il ne sait que boire, boire et chanter après avoir bu. Tout le monde le connaît à Tréhorenteuc.
    Ce soir là, Guillo a le vent en poupe. Il a passé toute la soirée au café du village et le voilà qui rentre chez lui, sous la pleine lune, en chantant à tue-tête. La nuit est trop douce pour prendre le raccourci par les prés, aussi prend-il la route qui monte vers Trébottu.

     

     

    Lorsqu'il arrive au petit pont sur le Rauco -le ruisseau qui descend le Val sans Retour- Guillo entend des bruits sourds, des battements, à sa gauche, près du moulin en ruine. Intrigué, il quitte la route et longe le ruisseau pendant un bon moment. Il se heurte sur les souches, il trébuche sur les pierres, et il patauge dans la boue.
    C'est là qu'il aperçoit deux femmes, vêtues de blanc, à genoux au bord du ruisseau. Elles lavent un grand drap et le frappent de leur battoir. Guillo, malgré l'ivresse, n'en croit pas ses yeux : est-ce une heure pour laver du linge en pleine forêt ? Peu importe, il fait demi-tour, mais alors qu'il repart, le voilà qui trébuche sur une grosse pierre et tombe dans le ruisseau. Les deux lavandières sursautent et se tournent vers lui.

     

     

    Mon Dieu, quels visages ! La lumière blafarde de la lune éclaire ces visages sans vie, aux traits durs et profonds ; leurs yeux sont noirs et vides. Guillo, terrifié, bondit hors de l'eau, mais il n'a pas le temps de fuir que l'une des femme lui crie :
    _ Approche ! Viens nous aider.
    L'homme, comme pétrifié, s'approche des lavandières en titubant. Impossible de fuir, la voix l'attire comme une guêpe sur une tartine de miel. Les femmes lui tendent alors le drap qu'elles ont lavé et qui ruisselle d'eau.
    _ Eh bien ! dit l'une d'elles, qu'attends-tu ? Aide nous à tordre ce drap.
    Sans réfléchir, embrumé par les vapeurs d'alcool, Guillo saisit l'extrémité du drap. A l'autre bout, les lavandières tordent le linge, mais lui ne bouge pas. Avec peine, il parvient quand même à dire :
    _ Mais qui êtes-vous ? Et pourquoi lavez-vous ce drap en pleine nuit ?
    _ Nous lavons le linceul d'un homme qui doit mourir cette nuit. Si nous ne le faisons pas, le pauvre n'aura même pas un linceul pour son dernier voyage.
    Sur le coup, Guillo prend ça pour une plaisanterie et le voilà qui éclate de rire. Il est maintenant de tellement bonne humeur, qu'il se met à tordre le drap de son côté. Et il tord le drap en le tournant de gauche à droite.
    _ Malheur ! s'écria l'une des femmes. Il a tordu le drap dans le sens maléfique !
    _ Malheur ! Malheur ! répéta l'autre.

    Ces cris résonnent dans les arbres, réveillant tous les animaux de la forêt. Quand Guillo s'est un peu remis de sa frayeur, les lavandières ont disparu. Il s'imagine avoir rêvé, surtout avec tout ce qu'il a bu. Mais c'est alors qu'il sent l'humidité du drap qu'il porte encore sur son bras.


    Tout à fait dégrisé, Guillo n'a plus qu'une pensée : courir jusqu'à chez lui, sans se retourner. Mais il n'a pas le temps de faire trois pas qu'il entend un énorme grincement. C'est le grincement des roues d'une charrette qui n'ont pas été graissées depuis des années.
    Incapable de faire le moindre geste, Guillo attend, l'oreille tendue. Mais d'où vient cette charrette ? Il n'y a pas de chemin forestier par ici. Cependant l'attelage s'approche, et en plus du grincement des roues, il peut maintenant entendre le claquement de sabots sur le sol, et les branches qui se brisent sur le passage du cheval et de la carriole.

    La charrette vient s'arrêter au bord de l'eau. Le cheval se penche pour se désaltérer. C'est alors qu'un personnage vêtu de noir s'approche de Guillo, un fouet à la main :
    _ Holà, l'homme ! crie-t-il. Je cherche un nommé Guillo, est-ce que tu l'aurais vu par hasard ?

     

     

    Guillo ne répond pas. Ses dents claquent, ses mains tremblent, il a l'impression que sa tête va exploser. Le mystérieux personnage tourne autour de lui et dit d'une voix rauque :
    _ Mais je ne me trompe pas ! Tu portes ton linceul sur le bras. C'est donc toi Guillo ! Guillo de Tréhoranteuc.

    C'est alors que la lune éclaire le visage de cet étrange personnage. Guillo, avec une indicible horreur, voit ce visage et le reconnait : c'est l'Ankou, le Serviteur de la Mort. Alors, ne pouvant supporter cette vision, Guillo tombe à genoux sur le sol.

     

     

    On raconte qu'à ce moment il y eut un ricannement qui se prolongea dans les arbres et sur la lande. Puis un grand bruit de branches brisées. On raconte que le cheval hennit trois fois et que la charrette s'évanouit dans la nuit. On raconte que personne n'a revu Guillo, Guillo de Tréhoranteuc, depuis cette nuit-là.

     

    Légende de la Morganès…

     

    Deux jeunes filles de l'île d'Ouessant, cherchant un jour des coquillages, au bord de la mer, aperçurent une Morganès qui séchait ses trésors au soleil, étalés sur deux belles nappes blanches.

     

     

    Les deux curieuses, se baissant et se glissant tout doucement derrière les rochers, arrivèrent jusqu'à elle, sans s'en être aperçues. La Morganès, surprise et voyant que les jeunes filles étaient gentilles et paraissaient être douces et sages, au lieu de se jeter à l'eau, en emportant ses trésors, replia ses deux nappes sur toutes les belles choses qui étaient dessus et leur en donna à chacune une, en leur recommandant de ne regarder ce qu'il y avait dedans que lorsqu'elles seraient rendues à la maison, devant leurs parents.

     

     

    Voilà nos deux jeunes Ouessantines de courir vers leurs demeures, portant leur précieux fardeau sur l'épaule. Mais, l'une d'elles, impatiente de contempler et de toucher de ses mains les diamants et les belles parures qu'elle croyait tenir pour tout de bon, ne put résister à la tentation. Elle déposa sa nappe sur le gazon, quand elle fut à quelque distance de sa compagne qui allait dans une autre direction, la déplia avec émotion, le cœur tout palpitant et ... n'y trouva que du crottin de cheval.

    Elle en pleura de chagrin et de dépit !

     

     

    L'autre alla jusqu'à la maison, tout d'une traite, et ce ne fut que sous les yeux de ses parents, dans leur pauvre chaumière, qu'elle ouvrit sa nappe. Leurs yeux furent éblouis à la vue des trésors qu'elle contenait : pierres précieuses, perles fines et de l'or, et de riches tissus !...

    La famille devint riche, tout d'un coup ; elle bâtit une belle maison, acheta des terres et on prétend qu'il existe encore, parmi les descendants, qui habitent toujours l'île, des restes du trésor de la Morganès...

     

     

    Voici la légende qui correspond au lieu dit "la grotte des korrigans", située entre Batz sur mer et le Pouliguen:

     

     

     

    Un soir d'hiver, dans le Bourg de Batz, une vieille femme avance péniblement sur les pavés avant de s'arrêter devant la porte d'une maison, elle frappe. C'est un homme au long cheveux blonds qui tombent sur sa chupenn rouge qui lui ouvre. La vielle femme est affreusement laide, repoussante, pourtant, le paludier qui est un homme aimable l'invite à s'asseoir sur un banc et à boire une bonne soupe chaude. Voyant que la vieille femme semblait engourdie par le froid, il alla chercher un drap épais pour la réchauffer ainsi qu'une bonne bûche pour relancer le feu de la cheminer, laissant la vieille et étrange femme seule entourée des meubles rougis par le sang comme c'est l'usage chez les habitants de la presqu’île Guérandaise.
    Il remarqua avec surprise que son chien n'osait s'approcher de la vieille femme....

    En revenant, il mit la bûche dans le feu et s’approcha de la vieille femme pour la recouvrir du drap, mais tout d’un coup celle ci disparus, laissant place à une petite, mais superbe créature. Celle-ci qui n’était autre que la reine des korrigans pour le remercier de son hospitalité et de sa bonté lui dit le secret qui permet d’ouvrir la porte qui dans la grottes aux korrigans permet de pénétrer dans les tunnels secrets du petit peuple, ces souterrains cachent de grandes richesses, le paludier pourra aller s’y servir, mais il devra avoir regagner sa maison avant le lever du soleil sinon tout le trésor qu’il aura amassé disparaîtra.

     

     

     

    Le paludier mis son large chapeau à rubans, et se mit en route dans la froide nuit vers la côte, se dirigeant vers le Pouliguen, il arriva devant l’impressionnant trou béant qui perce la falaise, lieux crains des anciens. Il s’enfonça dans l’obscurité de la cavité et trouva la pierre en question qui sert de porte entre le monde des Hommes et celui des antiques créatures. Il prononça les mots que la reine lui avait appris et pénétra alors de l’autre côté. Merveilleux, une lumière fantastique l’encerclait, et des centaines de petites créature aux traits si étrange le regardait, une douce musique embaumait l’atmosphère et des biens aussi divers que précieux tapissaient le sol. Envoûté par cette ambiance le paludier remplissait son sac, et découvrait sans cesse de nouvelles cavités où se trouvaient toujours de plus grandes richesses, l’homme aurait bien passé toute sa vie dans cet endroit fantastique entouré des korrigans, mais il trébucha, tomba, la douleur le ramena à la réalité, il ne savait combien de temps il avait passé dans cet endroit envoûtant. Il devait partir avant l’aube. Il repartit donc, hors de la grotte, il vit à l’horizon, là ou la mer se mêle avec la terre, que le ciel s’éclaircissait, l’aube arriverait bientôt. Il abandonna ses lourd sabots pour courir toujours plus vite, mais il n’allait pas assez vite, il était alors au côté de la « pierre longue », un menhir qui trône sur les falaises face à la mer, essoufflé il s’appuya contre celle-ci, et sentit qu’elle bougeait, il cacha donc le trésor dessous, pour qu’il ne soit pas touché par les rayons du soleil. Puis il retourna chez lui, en attendant patiemment la prochaine nuit où il pourrait aller récupérer son trésor.

     

     

     

    Le lendemain alors qu'il travaillait il ne cessait de penser à son trésor brûlant d'impatience. Le soir, il retourna à la Pierre longue près du village de Kervenel. Mais la grâce, et le merveilleux de la veille n’était plus, la pierre ne bougeait plus. Dépité, le paludier tomba sur ses genoux, et de voir tant de richesse disparaître après tant d’efforts, il ne put s’empêcher de pleurer. Voyant le si serviable paludier en si mauvaise posture, la reine des korrigans réapparus, et lui dit « tu as été trop cupide, ainsi je ne te redonnerais pas ton trésor, mais comme tu m’a aidé, et que je sais que parfois la vie est dure dans le marais je t’offre ce plat. Un plat magique, qui s’emplit de la nourriture dont tu rêve, tu ne sera ainsi jamais dans le besoins ». Arriver chez lui, le paludier posa le plat sur la table et se mit à rêver d’un festin royal, emplis des produits qu’il préfère, c’est alors que tout ce dont il rêvait apparus dans le plats. Il ne tomba donc jamais dans le besoins et garda avec lui jusque dans la mort le mot secret qui permet de rentrer dans les souterrains de la grotte des korrigans.

     

    La "grotte des korrigans" dans la commune du Pouliguen.

     

     

    bonne journée les z'amis...

    et gros breizhous...

    et bon Week-End...


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  • Si j’avais su...

    Qu’hier soir, quand je suis allé(e) me coucher, que je ne te reverrais plus. Même fatigué(e), j’aurais dû entrer dans la chambre, te dire bonsoir et te donner un baiser sur la joue.

     

     

    Si j’avais su...

    Quand tu as fermé la porte ce matin, que c’était la dernière fois que tu la fermerais. Je t’aurais fait une étreinte et t’aurais dit combien je t’aimais.

     

     

    Si j’avais su...

    Que c’était la dernière fois que j’entendrais ta voix. J’aurais enregistré chaque parole et pourrais les réentendre chaque jour.

     

     

    Si j’avais su...

    Que je ne te reverrais plus, toutes les minutes passées près de toi, je les aurais étirées tant de fois. Au lieu d’être toujours pressé(e) de terminer, de courir après le temps tout le temps.

     

     

    Pourquoi, dans ce temps-là, on n’a pas droit à une seconde chance? Pour rattraper tout cela, ne serait-ce qu’une seule fois. Un autre jour pour dire je t’aime tant, pour dire combien tu es important(e), te serrer si fort contre moi.

     

     

    Si j’avais su tout cela...

    Pourquoi attendre le temps des regrets. Personne ne sait de quoi sera fait demain. Ne laissez pas cette chance vous filer entre les doigts. Car pour cela, il n’y a pas de deuxième fois. Dites je t’aime à chaque instant. Prenez celles ou ceux que vous aimez et serrez-les contre vous.

     

     

     

     

     

    Vous n’aurez pas à dire…

    " Si j’avais su..."Auteur inconnu

     

     

    gros bisous et merci, pour vos visites, bonne journée...


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  • me voici avec une belle histoire sur les Anges, pour vous souhaiter un

    bon mercredi...

    Bonne visite les z'amis...

      

     

    Histoire des Anges…

     

     

    Il y a très longtemps, ma grand-mère m’a raconté une légende sur les Anges, ignorée de tous, nul ne sait d’où cette légende vient, pas même moi, j’ai fais ensuite des recherches pour être sûre que ma grand-mère n’avait pas inventé elle-même l’histoire. J’ai fait une découverte bouleversante il y quelques années: un roman qui parlait effectivement de cette histoire mais comme si elle avait été inventée par un auteur, une fiction quelconque pourtant, quelque chose trahissait cette façon de présenter la légende: il n’y avait pas de nom d’auteur. J’ai fini par comprendre à la suite que l’on avait jugé cette histoire insignifiante, et qu’on avait décidé de ne plus en parler après sa découverte, afin de mieux l’oublier. A la vérité, cette légende est tellement terrifiante et proche de nous, qu’ils ont voulu l’effacer complètement, et de n’en laisser trace, qu’un banale roman qu’on lirait et oublierait vite.
    Mais trêve d’explications, à mon tour, de faire partager cette légende, afin qu’on ne l’oublie pas, à votre tour de savoir la vérité!

     

     

     

    Il y a très longtemps, environ 10 siècles avant J.-C. et dans une forêt profonde d’un pays inconnu, il existait une peuplade d’êtres humains normaux. Ils vivaient de pêche, de chasse, de cueillette et étaient nomades. Ils devaient être sûrement une “tribu” comme une autre, me diriez-vous, eh bien non! Ils avaient quelque chose de bien particuliers: ils étaient purs! Je sais, pur est un terme vague, il signifie pleins de choses, mais là, c’est une valeur plutôt abstraite, elle définit le peuple comme étant sans haine, sans mensonges, sans hypocrisie, sans guerre, ce peuple vivait en parfaite harmonie avec la Nature, bien sûr, il y avait des disputes, des larmes, des rancœurs, mais jamais de vengeance, jamais de cupidité, de vraie colère les hommes et les femmes avaient atteint une sagesse, une culture avancée de l’inconnu et une lucidité hors du commun, qui les permettaient de toujours vivre ensemble sans histoires graves.

     

     

     

    Les enfants étaient reconnus comme des innocents, et on les élevait avec le plus grand soin, leur apprenant dès leur plus jeune âge l’amour de leur peuple, de leur parents, ensuite, venait l’enseignement du savoir de la civilisation, de la sagesse, du respect de tous. Les femmes, habituellement, faisaient la cueillette et élevaient les enfants seules. La notion de mariage, n’existant pas dans cette civilisation, les hommes et les femmes n’étaient pas obligés de vivre ensemble, ils le pouvaient si cela leur chantait, et pouvaient avoir plusieurs enfants d’hommes/femme différent(e)s. Les hommes protégeaient la tribu, faisait la chasse et la pêche. Les anciens, eux, s’occupaient de l’éducation des enfants.

     

     

    Ils ont vécu ainsi pendant 7 siècles, avant qu’un malheur terrible ne les frappe.
    Des peuples barbares, mieux armés que ce peuple, attaquèrent le peuple pour des raisons restées ignorées. Tout le monde fut massacré, femmes, hommes, enfants, tous. Pourtant, parmi la boucherie, un vieil homme eut le temps de lâcher contre les sauvages une terrible malédiction. Celle-ci fit bien son travail: à notre époque encore, la haine, le désespoir, la misère, la guerre et le fléau frappe le monde entier, enfin, cela se voit plus dans certains pays que dans d’autres pays.

     

    Mais qu’advint-il des âmes de la civilisation massacrée ? Tant que les tueurs de leur peuple ne seront pas tous morts, il leur sera impossible de trouver le repos. Ils continuent de se multiplier, ils ont pris un aspect différent de celui d’avant dans la mort. Aujourd’hui, c’est très rare, mais des gens prétendent pouvoir entendre, et même voir certaines de ces étranges créatures, mais ils ignorent qui ils sont, alors on a donné à ces esprits errants, le nom de “ANGE”.



    Chez les chrétiens, les anges sont les âmes des personnes et des saints défunts qui ont été autorisées à entrer au paradis. Le classement des anges se fait en trois ordres:
    -Premier ordre: Séraphins, Chérubins, Trônes.
    -Second ordre: Dominations, Vertus, Puissances.
    -Troisième ordre: Principautés, Archanges, Anges
    .

    (histoire trouvée sur le net)...

     


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  • faites de beaux rêves les z'amis...

    à demain...

    bisous Véro...


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  • Kdo pour vous
    Très belle créa citation de ma maman...
     

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