• Vendredi de chaleur, et d'érotisme...

    Coucou, avec ces chaleurs presque estivales, le temps est propice à l'érotisme, alors ce vendredi se veut dans le ton avec une très belle légende érotique (attention pour un public averti)...

      

    en vous souhaitant une belle journée...

    bonne visite... bises les z'amis...

     

     

    Vieille légende asiatique (érotique)

    Pays du matin calme, avant le moyen-âge
    Érable Vertueux un guerrier mémorable
    Avait sauvé l’honneur de son petit village
    Qui d’avoir survécu lui était redevable.

    On lui offrit un choix d’épouses éventuelles
    Des jeunesses intactes aux corps les plus parfaits
    Il choisit parmi toutes ces promesses sensuelles
    Et, de ces nudités, dit : celle-là me plait.

    Fleur de Cerisier Rose avait été l’élue
    Bien sur elle était belle et dans ses yeux brillait
    Une promesse d’amour, une joie inconnue,
    Elle voulait le guerrier et déjà elle l’aimait.

    Demain soir à la nuit ta porte sera prise
    Demande à une aïeule de t’enseigner les rites
    Aux désirs d’un guerrier tu vas être soumise
    Ton corps sera le temple où iront mes mérites.

    L’aïeule lui dit ma Fleur le guerrier sait tuer
    Tant que de sa semence il ne t’a irriguée
    Il n’osera jamais en toi insinuer
    Une main à la mort trop souvent entrainée.

    De même nul baiser n’entrera en ta bouche
    Avant que d’un assaut ton corps ne soit ouvert
    Seul le bâton de jade et la langue farouche
    Sont les première clés du plus doux univers.

    Puis elle lui enseigna les antiques postures
    Présentant au guerrier les joies à honorer
    Lui disant c’est demain qu’il te fera conclure
    Concubin ou mari il te faudra gagner.

    Fleur de Cerisier Rose, Érable vertueux,
    Se trouvent face à face, nus, parfumés, brillants,
    Elle prend position aussitôt il la veut
    Et couvre de sa bouche l’orée du bois charmant

    Il fait naitre la joie en la chaleur du ventre
    Cent fois il fait gravir jusqu’au mont délicieux
    La caresse linguale qui se frotte et qui entre
    Dans la douce moiteur du bonheur sirupeux.

    Il cesse et Fleur s’ouvrant lui offre sa nature.
    Lui, tenant de sa main, son jade du désir
    En introduit la prune en l’orée toujours pure
    Il ne pénètre pas et créant du plaisir

    Il parcourt cent fois la sente bienheureuse
    Tournant d’un mouvement qui excite les rives
    Il fait murmurer Fleur, elle se sent heureuse,
    Il appuie en montant sur l’exquise cerise.

    Puis tenant fermement la tige qui déflore
    La prune au bout du jade pénètre dans la rose
    Fleur, lui a dit la vieille il faut que tu ignores,
    L’indispensable mal que l’amour te propose.

    Le guerrier attentif d’un tendre va et vient
    N’offre à la rose ouverte qu’une partie du jade
    Et l’antre se dilate et Fleur le voulant sien
    Sent du bonheur entier la soyeuse glissade

    Érable, de douceur exaspère ses sens
    L’accord se fait profond l’étreinte est exigence
    Fleur geint en se fermant, son plaisir est démence
    Et le guerrier vaincu libère sa semence.

    Il lui dit maintenant tout nous sera permis
    Et lui mange la bouche plus beau fruit du désir
    Elle connait sa leçon attend le goût exquis
    De la salive chaude qu’il lui faut accueillir

    Puis respectant le rite elle lui suce les lèvres
    Elle sait qu’il est heureux puisqu’il lui tend la langue
    Elle y frotte la sienne et l’amoureuse fièvre
    Brûle leurs corps à nouveau de cette envie qui tangue

    Les mains étant permises Fleur sait les recevoir
    D’une main le guerrier fouille son coquillage
    De l’autre entre deux doigts il montre son savoir
    Au trésor dont l’amour a fait son reposoir.

    Le désir est trop fort et assis en tailleur
    Il descend Fleur brûlante sur le jade dressé
    D’une lente cambrure il accentue l’ardeur
    Dans la grotte ou déjà son suc s’est déversé.

    Les mains omniprésentes cajolent ou bien incitent
    Les tétons sont dressés quand la houle s’apaise
    Les fesses soulevées à repartir invitent
    Ils mêlent leurs plaisirs dans l’ultime fournaise.

    Le guerrier s’abandonne à Fleur qui le dévore
    Il en gémit aussi tant son corps s’épanouit
    Puis Fleur en l’enfermant luit dit : oui, vient encore
    Et de son abondance subitement elle jouit.

    Ils dorment maintenant et selon la coutume
    Elle tient dans sa main l’arme de son guerrier
    Lui a gardé les doigts dans la soyeuse écume
    De la porte des joies qu’il a su rassasier.

    Il ne reste qu’un rite ancien à accomplir
    Il se fait au matin à l’éveil des corps
    Fleur s’y conformant connaitra le désir
    D’Érable le guerrier dont elle a joui si fort

    Elle doit le prendre en bouche et de cent mouvements
    Elle doit mener le jade à la félicité
    Elle se fait lascive et le plaisir violent
    Vient lui emplir la bouche de masculinité

    Elle reste immobile et le guerrier lui dit
    Je te veux pour épouse Fleur de Cerisier Rose
    Elle avale son don c’est ainsi qu’elle dit oui
    Et répond mon époux que faut-il que j’ose

    Honorons la nature d’une pose animale,
    Conjurons les ténèbres jouissons regard voilé,
    Pour honorer les dieux l’étreinte est verticale
    Et chevaucher le jade assure fidélité...

     

     

     

    Poème d'amour publié(e) par Peniculo le 17 Mars 2011 Ici :

     

    http://poeme-amour.jepoeme.com/discussion-308071-Vieille_legende_asiatique_erotique_/1.html...

     

     

     

     

     

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