• J-15, bonne journée et bises de Véro...

    Le saviez-vous...

    Le Houx…

    Le houx doit ses lettres de noblesse aux services rendus à la Sainte Famille. 

    Afin d'échapper à la colère d'Hérode, prêt à faire massacrer tous les enfants mâles de moins de deux ans, pour être sûr d'en éliminer un seul, Jésus. Marie, Joseph et leur enfant furent contraints de fuir en Egypte. 

    Des miracles ont jalonné leur chemin. Sous une escorte de lions, de loups et de léopards, la famille pu avancer sans danger. 

    Pour les nourrir et les désaltérer le palmier se baissa leur offrant ses fruits, de ses racines jaillit une source. 

    Lorsque les soldats d'Hérode s'approchèrent dangeureusement, le houx, à son tour, a étendu ses branches pour cacher, mère, père et enfant. 

    En reconnaissance Marie le bénit en disant que le houx resterait toujours vert, un symbole d'immortalité. Une légende raconte que la croix était en bois de houx, parce que parmi tous les arbres, seul le houx se laissa sacrifier. Les piquants le long des feuilles symbolisant la Passion et la couronne de houx de l'Avent et ses 4 bougies qu'on allume une à une les 4 dimanche de décembre, en préparation de l'avénement du Christ, nous rappellent les liens entre Noël et Pâcques.

    Pour que l'année à venir soit profitable, il faut faire rentrer du houx à la maison à Noël.

    En Angleterre on croyait que le houx pouvait influer sur la bonne entente du ménage. En fait, il faut deux sortes de houx : avec piquants et sans. Le houx à piquants symbolise le mari, le houx à bords lisses, la femme. Afin que les rapports entres les conjoints soient équilibrés, les gerbes de houx contenants les deux sortes de feuilles doivent entrer dans la maison ensemble. Autrement l'un des deux, mari ou femme, dominera la maison.

    (texte et images du net)... 

    bises de Véro et Bonne JOurnée...


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  • C'est Mercredi jour des enfants, et à J-20 avant Noêl, je vous offre une petite histoire de Noël, pour partager entre petits et grands...

    bises de Véro et bonne journée...


    Il était une fois un garçon aussi mauvais que malin. Il avait sans ...
    cesse de méchantes idées, c'est pourquoi, chaque Noël, il ne recevait pour tout cadeau qu'un minuscule bonbon. Un jour, il eut une idée encore pire que toutes celles qu'il avait eues jusque ici :
    " Cette nuit, c'est Noël, se dit-il, je veux être le seul enfant à recevoir des jouets. Quand Papa Noël viendra par la cheminée m'apporter mon bonbon, je l'enfermerai. Il m'appartiendra et j'aurai enfin des cadeaux, tous les cadeaux, j'en aurai pour toute l'année, pour tous les jours et les autres enfants ne verront plus Noël. Plus jamais ! Ah ! Ah ! Ah ! " Quelle idée ! Une idée terrible !
    Le mauvais garçon imagina un piège. En bas de la cheminée, il étala un grand sac de toile, équipé d'une corde qu'il suffisait de faire coulisser autour de son ouverture pour le fermer solidement.
    Quand Papa Noël arriva, il atterrit, les pieds en avant, droit dans le sac. Le mauvais garçon se jeta sur lui, tira la corde pour fermer le sac et Ziiiip ! Voilà Papa Noël prisonnier…" Libère-moi ! Les autres enfants vont être très tristes" hurlait Papa Noël.
    Mais le mauvais garçon se contenta de rire méchamment avant de quitter la pièce en fermant la porte à double tour.
    Pourtant, le mauvais garçon avait oublié les plus aimables des amis de Papa Noël : ses rennes, qui tirent le traîneau. L'un d'eux, qui s'appelle Rudolf, inquiet de sa longueabsence se mit à sa recherche.
    Rudolf se doutait bien que Papa Noël devait être encore dans la maison là, sous ses sabots. En passant sa tête dans la cheminée, il vit un gros sac qui bougeait tout en bas,et à travers le tissu du sac il entendit la voix de Papa Noël qui criait :
    " Ouvre-moi, Rudolf ! Ce mauvais enfant m'a ligoté là-dedans ! "
    Rudolf, épouvanté, libéra Papa Noël en un clin d'œil. Puis ils remontèrent dans le ciel pour donner leurs cadeaux à tous les enfants du monde. Sauf au mauvais garçon.

    Quelques heures après ces évènements, le mauvais garçon voulut voir les cadeaux qu'il avait volés... Il entra tout doucement dans la pièce où il croyait trouver Papa Noël captif et les cadeaux des enfants du monde entier, mais, quand il découvrit que la pièce était vide, il commença à pleurer.
    - Je ne recevrai jamais de cadeaux ! Je suis sûr, maintenant, que Papa Noël ne m'aime pas.
    Cependant, Papa Noël, qui avait fini sa tournée, entendit ces mots. Il repassa dans la cheminée du mauvais garçon, l'embrassa et lui dit :
    - J'aime tous les enfants, et je t'aime aussi. Mais je ne veux pas récompenser tes mauvaises actions, ni ton égoïsme. Si tu me promets de te corriger, je te visiterai encore et toujours.
    Ce Noël là, le mauvais garçon dut se contenter de l'habituel minuscule bonbon comme cadeau. Mais l'année suivante, comme il s'était réellement amélioré, il reçut de très beaux présents. Il en fut de même tout au long des années de sa vie. C'est ainsi que le mauvais garçon devint un enfant très bon et par la suite, un homme honnête et généreux.
    C'était dans sa maison qu'on fêtait le mieux l'esprit de Noël, dit-on.

    de martine Félicia...


    et N'oubliez pas soyez sage, et Le Père-Noël sera généreux lol...
     

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  • à J-22, pour ce mettre dans l'ambiance des fêtes, et pour patienter avant le jour J, je vous offre une petite histoire de Noël...

    en vous souhaitant une belle journée...

    bises de Véro...

     

    L’elixir du Père-Noël, de Daniel Remy…

    Lorsque la cloche de l'école retentit, une horde d'enfants se dispersa
    joyeusement. Tibou lui, reprit le chemin de la maison en traînant les
    pieds, son cartable serré contre lui et les yeux rouges.
    A l'approche des fêtes de fin d'année, les discussions allaient bon train
    dans la cour de récréation, et le grand sujet du jour avait été le Père Noël.
    Ses copains lui avaient démontré avec acharnement qu'il n'existait pas.
    - Tout le monde sait qu' le Père Noël c'est les parents, y'a qu' les benêts
    ..comme toi pour y croire.
    - Tu parles, le Père Noël, c'est mon oncle qui s' déguise ! L'année dernière
    ..il avait tellement bu qu'il s'est pris les pieds dans son costume. Il a cassé
    ..ma game-boy en tombant dessus.
    - Ben moi, j'ai rien eu. Mes parents y disaient qu'ils avaient pas assez de
    ..sous… j'espère que c' t' année ça sera mieux.
    - Mon père à moi, y m'en donne des sous, y dit que j' suis plus un bébé,
    ..et comme ça je peux m'acheter c' que j' veux.
    Tibou sentit son univers basculer, il ne savait plus comment réfuter ces
    affirmations. Puis il se rendit à l'évidence. Le Père Noël n'existait pas !

    En traversant le parc qui menait à sa maison, il s'assit sur un banc, sortit
    son goûter de son cartable, le regarda, le rangea et se mit à pleurer.

    Fini les magiciens, les chevaliers, fini les lutins ! Le monde devenait tout
    à coup froid, dur, implacable.
    Tibou aurait voulu se cacher et ne plus jamais voir personne. Plus il y
    pensait plus il était triste, il avait l'impression de mourir… Il enfouit sa tête
    dans ses bras et pleura de plus belle.
    C'est alors qu'il sentit une petite tape sur son épaule, il tourna lentement la
    tête, et à travers ses larmes, il aperçut un vieux monsieur qui s'était assis
    sans bruit près de lui.
    - Qu'as-tu mon petit bonhomme ?
    - Rien m'sieur.. dit Tibou en sanglotant, j'ai les yeux qui m' piquent.
    - Dis-moi ça ne serait pas plutôt un gros chagrin qui te pique les yeux ?
    - Si m'sieur, répondit Tibou dans un sursaut de pleurs.
    - Et il s'appelle comment ce gros chagrin ? Il a bien un nom.
    - C'est à cause du Père Noël. Mes copains disent qu'il existe pas.

    - Et tu les crois toi, tes copains ?
    - Oui monsieur.
    - Pourtant, ils se trompent bel et bien tes copains, car le Père Noël existe.
    ..As-tu déjà entendu les gens dire : " Tiens ! ça sent Noël. "
    - Oui m'sieur, souvent.
    - Et sais-tu pourquoi les gens disent cela ?
    - Euh !… non m'sieur.
    - Eh bien ! Moi, je vais te le dire.
    Tibou, interloqué se mit à écouter attentivement l'histoire que le vieux
    monsieur lui racontait :

    Il y a bien longtemps, le Père Noël vivait dans les pays chauds. Toute
    l'année, avec l'aide de ses compagnons les lutins, il fabriquait des jouets
    pour les enfants. Mais le monde se peuplait chaque jour davantage et la
    tâche devenait de plus en plus difficile pour le Père Noël.
    La distribution lui posait beaucoup de souci, il avait plus d'une fois failli ne
    pas boucler sa tournée à temps. Il réunit alors le conseil des Sages,
    composé des lutins les plus expérimentés

    Ils discutèrent longuement du problème. Au petit matin, la solution jaillit
    miraculeusement. Pour réaliser son idée, il lui fallait plusieurs ingrédients
    dont de la glace très pure, des poils d'ours blanc, de la corne de renne
    mais aussi et surtout des vents favorables. C'est à cette époque qu'il
    décida de s'installer dans le grand nord, tout près du pôle. Il savait qu'il
    trouverait là tout ce dont il avait besoin.
    Il fabriqua un énorme chaudron, sa taille était gigantesque et nécessita
    presque une année de travail. Des renforts durent être demandés aux elfes
    du sud pour terminer dans les temps. Fin novembre arrivant, il envoya les
    lutins chercher les ingrédients nécessaires à l'accomplissement de son
    projet. Lorsque les vents furent propices, il se mit à ses fourneaux et com-
    posa une grande quantité d'un élixir très particulier qui fut ainsi emporté et
    se dissipa tout autour de la terre.
    Cet élixir a la propriété d'attendrir les cœurs. Quand les gens respirent un
    peu de ses vapeurs, ils ressentent le besoin irrépressible de faire le bonheur
    autour d'eux, à commencer par leurs enfants. Voilà pourquoi ils achètent
    des jouets à Noël.

    Les boulangers veulent faire leurs plus beaux pains, les glaciers leurs plus
    belles glaces, les charcutiers leurs plus beaux pâtés, les fabricants de
    jouets rivalisent d'ingéniosité pour offrir ce qu'il y a de plus attrayant.

    Les gens ont envie de vivre dans du beau et se mettent à décorer à tour de
    bras, qui leur maison, qui la devanture de leur boutique, les maires donnent
    l'ordre d'égayer les rues, tout le monde s'y met.
    Bien sûr, cet élixir a quelques petits inconvénients mineurs. Chez certaines
    personnes plus sensibles que d'autres il provoque de légers rhumes, mais
    après tout, cela permet souvent de se reposer un peu avant les fêtes, et ce
    n'est de toute façon jamais bien grave.
    D'autres ont le cœur plus dur et résistent à ses effets, mais chaque année,
    il améliore sa recette afin de toucher le plus grand nombre d'entre nous.
    C'est ainsi que le Père Noël est sûr de pouvoir accomplir sa tâche, et ce,
    quel que soit le nombre d'habitants sur la terre.

    - Voilà, tu sais tout. Mais laisse-moi te donner un dernier conseil, petit.
    ..Quand tes copains te disent que le Père Noël n'existe pas, réponds que
    ..le Père Noël n'existe pas pour ceux qui n'y croient pas. Ils comprendront.

    Tibou sentit la chaleur l'envahir, la vie reprenait, tout s'expliquait !
    Il comprenait pourquoi les gens disaient : " ça sent Noël. "
    Les fées et les magiciens reprenaient le dessus !
    Le monde redevenait vivant !
    Il savait maintenant que les choses étaient bien plus subtiles qu'il ne l'avait
    imaginé. Fou de joie, il ne vit pas le vieux monsieur partir, comme il était
    venu, sans bruit, et reprit gaillardement le chemin de la maison.
    Depuis, Tibou a grandi. Chaque année, au moment de Noël, il repense
    à cette vieille personne qu'il n'a plus jamais revue. Il se demande dans le
    secret de son cœur si, finalement, il ne l'a pas rencontré ce jour là, le Père
    Noël.

    Daniel Remy


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  • Coucou du Mardi, avec une petite coutûme Anglaise originale, mais plus d'actualité, à savoir pourquoi lol...

    bonne journée et bises de Véro...

    Epoux vend epouse…

     

    A vendre, cinq shillings, ma femme, Jane Flebbarcl. Elle est bien bâtie, ferme sur ses pattes, une vraie poutre maîtresse. Elle sème et elle récolte, elle laboure et mène ses hommes, et elle tiendrait tête à n'importe quel gaillard qui tient les rênes serrées, parce qu'elle est butée comme un âne et que c'est une sacrée forte tête ; mais bien menée, elle serait douce comme un agneau. Il lui arrive de commettre des faux pas. Son mari s'en sépare parce qu'elle est trop pour lui.
    N B : Tous ses vêtements seront donnés avec elle.

    (Leeds Mercury, gazette régionale, 7 juin 1879)…

    Non, ce n’est pas une blague, mais bien une coutume observée en Angleterre à la fin du 17ème et jusqu’au début du 20ème siècle !!!
    La vente était annoncée à l’avance par voie de publicité dans la gazette locale. Elle prenait la forme d'une vente aux enchères, souvent lors d’un marché. La femme y était menée par un licol généralement une corde mais parfois un ruban, attaché autour de son cou, de sa taille ou de son bras. Le prix pouvait varier entre un verre de bière et 100 £ soit 13 000 € aujourd’hui !
    La vente d’une épouse permettait de mettre fin, par consentement mutuel, à un mariage insatisfaisant, le divorce n’étant accessible qu’aux plus riches.

    Cette coutume, qui à l’heure actuelle peut choquer, peut se justifier et sembler moins barbare qu’elle n’y paraît.
    Tout d’abord, dans l’Angleterre de l’époque, ainsi que partout en Europe, on se mariait par obligation, convenance ou filiation, mais jamais par amour. Une fois attachée à l’époux, la femme devenait pour son mari un bien comme un autre, sans droits ni possession. L’époux en échange, devait répondre aux besoins de sa femme.
    Aujourd’hui, si mésentente il y a, les gens divorcent. Mais à l’époque géorgienne, on ne pouvait divorcer qu’en cas d’adultère avéré ou de violences cruelles et répétées. Et qui plus est, divorcer coûtait cher. Il restait donc comme solution pour les pauvres gens malheureux en amour : la fuite ou la vente aux enchères !

    Une solution qui arrangeait aussi bien l’homme que la femme. D’ailleurs la vente ne pouvait se faire que par consentement mutuel. En général, l’époux y recourait parce qu’il avait besoin de liberté ou d’argent. Quant à la femme, il s’agissait d’échapper à la brutalité, l’alcoolisme ou la pauvre naissance de son mari. Et oui, une vente permettait souvent à la femme de s’élever socialement en étant achetée par un mari plus âgé, plus riche et de meilleure condition…

    imagerie du Mardi

    (images du net, Perla-Marina)...


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  • C'est d'Amour dont j'ai envi de parler en ce début de semaine...

    avec des petits contes pour petits et grands, des petits contes d'amour...

    bonne semaine, et bonne visite...

    bises de Véro...

    Petits contes d’amour…

     

    Nuit d'amour en hiver

    Le petit lac est amoureux de la lune.
    Au printemps, en été comme en automne,
    la lune l'effleure de ses rayons d'argent et le remplit d'amour.
    Mais elle glisse sur l'eau comme une barque d'opale,
    ou bien elle roule, ronde et fraîche, telle une pastille de menthe.
    Le petit lac est émerveillé par la grâce de sa belle.
    Il a tout tenté pour la séduire,
    lui offrant ses moires, ses nacres, ses nénuphars et même une libellule mauve.
    Mais la belle a continué de glisser ailleurs, toujours plus loin, vers de nouvelles amours...
    et puis l'hiver est arrivé et le petit lac est bien content.
    Le gel a durci ses eaux, le voila bloc de glace où la lune est emprisonnée.
    Enfin le bonheur! Sa bien-aimée ne pourra s'échapper qu'au prochain printemps.

    Francine Trimbach

     

    Un mariage parfumé

    Après avoir résisté à l’hiver,
    la petite Ciboulette reprend de la vigueur
    au soleil du printemps.
    Et, regardant autour d’elle,
    elle aperçoit un brin de persil frisé,
    dont la belle couleur verte la fait craquer.
    Voilà notre amoureuse qui tente,
    chaque jour, de se rapprocher de son amour…
     jusqu’à le frôler.
    Il faut dire que Persil n’est pas insensible
    aux charmes de Ciboulette.
    Alors les amoureux s’échangent un doux regard,
    s’enlacent et se promettent un amour éternel.
     Si bien que lorsque le jardinier vient cueillir Persil,
    Ciboulette se laisse prendre aussi.
    C’est ainsi qu’ils se retrouvent unis, l’un près de l’autre,
    dans une grande salade de printemps.
    Quel beau mariage !

    Jeanine Vivot

     

    La fleur et le papillon

    Le bleu papillon aimait une blanche marguerite.
    Chaque matin, il buvait en elle des gouttes de rosée.
    Mais il regrettait qu'elle soit prisonnière de ses racines.
    Il disait:« Tes feuilles ressemblent à des ailes,
    tu pourrais t'envoler avec moi.»
    Elle l'écoutait, ses longs cils blancs baissés, et son cœur battait...
    Un jour, une petite fille cueillit la marguerite.
    Elle s'échappa alors du bouquet, entrouvrit ses feuilles
    et s'envola pour rejoindre son papillon.

    Francine Trimbach

     

    Le petit pommier amoureux

    L’hiver dernier, le petit pommier souffrait.
    Ne supportant ni le vent ni le gel,
    ses branches nues craquaient pour appeler au secours.
    Un soir de grand froid,
    du gui vert et brillant est venu le consoler.
    Il s’est roulé en boule autour du petit arbre
    et l’a réchauffé au cœur de l’hiver.
    Aujourd’hui , le pommier et la boule de gui
    sont si attachés l’un à l’autre qu’ils sont inséparables.
    Filant un tel amour
    que le vieux jardinier prédit qu’à l’automne,
    ils auront des tas de petites pommes.

    Jeanine Vivot

     

    Marguerite, la fleur-étoile 

    Marguerite était une jolie fleur
    avec un cœur d’or et des pétales blancs.
    Un jour, l’oiseau du paradis descendit du ciel
    et lui déclara son amour.
    Séduite, la fleur lui offrit un de ses pétales en disant « Je t’aime ».
    Elle ajouta « un peu », en lui donnant le deuxième pétale,
     « beaucoup », avec le troisième…
    Comme l’oiseau du paradis lui répondait :
     « Moi aussi, ma chérie », elle se laissa cueillir.
    Et l’oiseau l’emporta dans le ciel
    où Marguerite se transforma en étoile.
    Depuis elle illumine toutes les nuits d’été.

    (Francine Trimbach)

     

    (images du net)...

     

    Plein de bécots pour les petiots

    Julot le souriceau est triste.
    Il est si maigrichon qu’il n’a que la peau sur les os.
    Pauvre Julot qui pleure à gros sanglots !
    Pour le consoler, Coco le mulot lui fait cadeau
    de beaux vermisseaux et de gâteaux aux pruneaux.
    Julot sort de son broc et rencontre Margot, une souricette.
    Depuis ils ont eu de tendres duos,
    beaucoup de marmots et ont même gagné au Loto.
    C’est la vie de château avec plein de bécots
    pour Julot., Margot et tous les petiots !

     (Jeanine Vivot)

     


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