• Lundi, au nom de la femme...

    Coucou, c'est lundi debout...

    et avec le sourire s'il vous plait hihihihi...

    j'espère que la santé est bonne en ce début de semaine...

    je vous souahite à tous et toutes une belle journée

    avec plein de gros breizhous...

     

    bonne visite les z'amis...

      

      

    Femmes d'antan...

    FEMMES D'ANTAN...

     

    Femmes d'antan, beautées d'ici ou d'ailleurs...

    Femmes d'antan, beautées, ici et maintenant...

    L'art moderne, c'est ce qui arrive quand les peintres cessent de regarder les femmes et pensent qu'ils ont une meilleur idée...

    Une beauté est une femme que vous remarquez, une femme charmante est celle qui vous remarque...

    Toutes les femmes sont belles et attirantes, pour qui sait les regarder...

      

      

    La memoire...

    Souvent, lorsque la main sur les yeux je médite,
    Elle m’apparaît, svelte et la tête petite,
    Avec ses blonds cheveux coupés courts sur le front.
    Trouverai-je jamais des mots qui la peindront,
    La chère vision que malgré moi j’ai fuie ?
    Qu’est auprès de son teint la rose après la pluie ?
    Peut-on comparer même au chant du bengali
    Son exotique accent, si clair et si joli ?
    Est-il une grenade entr’ouverte qui rende
    L’incarnat de sa bouche adorablement grande ?
    Oui, les astres sont purs, mais aucun, dans les cieux,
    Aucun n’est éclatant et pur comme ses yeux ;
    Et l’antilope errant sous le taillis humide
    N’a pas ce long regard lumineux et timide.
    Ah ! devant tant de grâce et de charme innocent,
    Le poète qui veut décrire est impuissant ;
    Mais l’amant peut du moins s’écrier : “Sois bénie,
    O faculté sublime à l’égal du génie,
    Mémoire, qui me rends son sourire et sa voix,
    Et qui fais qu’exilé loin d’elle, je la vois !”

    François Coppée, L’Exilée (1877)

    je sais que dieu n'est pas une femme, car une femme n'aurait jamais crée l'homme avec autant d'imperfections...

     

      

    Envoi d'amour dans le jardin des Tuilerie...

      

    Accours, petit enfant dont j’adore la mère
    Qui pour te voir jouer sur ce banc vient s’asseoir,
    Pâle, avec les cheveux qu’on rêve à sa Chimère
    Et qu’on dirait blondis aux étoiles du soir.
    Viens là, petit enfant, donne ta lèvre rose,
    Donne tes grands yeux bleus et tes cheveux frisés ;
    Je leur ferai porter un fardeau de baisers,
    Afin que, retourné près d’Elle à la nuit close,
    Quand tes bras sur son cou viendront se refermer,
    Elle trouve à ta lèvre et sur ta chevelure
    Quelque chose d’ardent ainsi qu’une brûlure !
    Quelque chose de doux comme un besoin d’aimer !
    Alors elle dira, frissonnante et troublée
    Par cet appel d’amour dont son coeur se défend,
    Prenant tous mes baisers sur ta tête bouclée :
    “Qu’est-ce que je sens donc au front de mon enfant ?”

    Guy de Maupassant, Des vers

    les jambes des femmes sont comme des compas qui arpentent le globe terrestre en tout sens lui donnant son équilibre et son harmonie...

      

      

    Regard de femmes...

      

    REGARDS DE FEMMES...

    Les femmes aussi ont leurs saisons... L'été ne dure pas toujours et après l'été... ah oui... les splendeurs de l'automne... Mais combien éphémères... Qui prend le temps de regarder et d'aimer l'automne?... 

     

    femmes


    le regard chez une femme est un interprète toujours charmant, qui se charge de dire avec complaisance, ce que la bouche n'ose prononcer...

      


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