• Expressions du Lundi...

     

     

    et oui... deja Lundi... c'est pas la joie, c'est pas le Lundi qu'on atteind le septième ciel... en plus avec les enfants qui filent un mauvais coton, et moi qui suis en carafe... ça commence bien, hihihihihi... je rigole, voilà trois petites expressions qui meritent bien quelques explications...

     

     

    Être au septième ciel… être très heureux…

     

     

     

    Cette expression est liée à la curieuse manière qu’avaient les Grecs de l’Antiquité d’imaginer l’Univers. Dans leur esprit, celui-ci était formé de sept sphères, chacune représentant un ciel. « Être au septième ciel », le plus proche de la résidence des dieux, était donc l’assurance d’un grand bonheur, le symbole du ravissement suprême. Le progrès de la science sur la réalité du cosmos et les découvertes de Copernic n’y ont rien changé : le « Septième ciel », est resté le lieu du bonheur absolu…

     

     

     

     

    Filer un mauvais coton… Avoir des ennuis…

     

     

     

    Née au XIX e siècle, cette expression provient d’une tournure plus ancienne, « jeter un vilain coton ». Elle était employée fréquemment dans les ateliers de tisseurs au siècle précédent pour indiquer que le coton produit n’était pas de bonne qualité ou qu’une étoffe prenait un aspect cotonneux, ce qui lui faisait perdre une grande partie de sa valeur. « Filer un mauvais coton » s’applique donc aux individus dont la situation prend une mauvaise tournure, en raison d’ennuis quelconques. Dans ces cas-là, il est important de réagir pour revenir dans le droit chemin!…

     

     

     

    Rester en carafe…  Être abandonné…

     

     

     

    Les linguistes sont formels pour dater cette expression de la fin du XIXe siècle. Mais ils ne sont pas tous d’accord lorsqu’il s’agit d’expliquer son origine. Pour certains, elle provient du sens argotique du mot « carafe », c’est-à-dire la bouche. Dans le langage populaire de l’époque, on disait en effet d’une personne hébétée, la bouche-bée, abandonnée de ses auditeurs, qu’elle était « en carafe ». Pour d’autres, le mot « carafe » est à rapprocher de « cruche ». Ainsi, celui qui « reste en carafe », isolé, se retrouve donc comme une cruche, c’est-à-dire, dans le langage populaire, comme un parfait imbécile…

     

     

    et

     

    les z'amis...

     

    Bisous bisous...

     

     

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