• Bonjour la terre...

    BONJOUR LA TERRE...

    Bonjour la terre, à l’heure où certains s’éveillent d’autres à l’autre bout de la terre terminent leur journée, des bonjours et bonne journée s’échangent d’un côté, et de l’autre des bonnes soirées et des bonnes nuits s’entendent dans les foyers…

    et puis au milieu de tout ça, d’un côté ou de l’autre de la terre, la misère continue, la misère n’a pas de frontière, elle touche les uns et les autres de manière différente de chaque côté du globe, mais personne n’est épargné quand la misère s’est installée…

    petits et grands sont touchés les uns par la famine, d’autres par la maladie, ou d’autres encore par les guerres, et puis coup du sort d’autres perdront tout ce qu’ils ont dans les séismes, des raz de marée, des tornades…

    faut-il s’interroger sur notre part de responsabilité, quand à l’heure du progrès on est encore bien impuissant contre les caprices du temps, et pourtant nous sommes peut-être coupable d’avoir sali notre planète, notre mère nourricière, en creusant, élavant, massacrant, la nature qui nous entourait dans le simple fait de vivre mieux…

    la nature est peut-être en train de se défendre, et nous pauvres hommes que nous sommes, subissons les répercutions d’une terre trop longtemps dégradée, d‘une nature qui voudrait peut-être reprendre sa place…

     

    Les paroles de cette chanson sont très belle, et sonne comme un crie d’alerte, un cri nous amène à prier pour que ne vienne jamais le jour d’après

      

      

     

     

    Le jour d'après

    Chimène Badi

    by Album: Dis-moi que tu m'aimes

     

     On portera nos regrets
    Si nous survivons peut-être
    Le souvenir dévasté
    De notre ancienne planète

    On emportera nos remords
    De ce temps où l'on savait
    Si honteux d'avoir eu tort
    D'oublier que l'on pouvait

    J'ai rêvé la douceur de certains soirs
    J'ai rêvé surtout qu'il n'était pas trop tard
    Espéré que l'on pouvait changer
    J'ai rêvé d'être encore avant le jour d'après

    Devant notre indifférence
    A l'essence de la terre
    Quand la nature se venge
    Il n'est plus temps des prières

    On peut détourner nos têtes
    S'enfermer dans nos armures
    Se noyer de vin de fête
    Et puis foncer dans le mur

    J'ai rêvé la douceur de certains soirs
    J'ai rêvé surtout qu'il n'était pas trop tard
    Espéré encore de pouvoir tout changer
    J'ai rêvé d'être encore avant le jour d'après

    Il est temps
    Nous sommes encore hier
    Juste l'instant d'avant
    On peut encore tout faire
    Désormais cet absurde ballet
    Et que ne vienne jamais
    Jamais le jour d'aprè
    s


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