• Quand j' écris sur des enfants...( des enfants qui pourraien ressembler à mes petits loulous)...

    cela donne ceci... des petits textes à découvrir, bon Week-end, et bonne lecture...

    bises de Véro...

    Enfant mystère…

     Elle est un mystère, douce bien qu’un peu farouche, Au regard bleuté, quelles sont ses pensées ?...

     Dans ses yeux bleus ensoleillés, on y lit souvent la tristesse, l’anxiété, mais d’un simple sourire, en un instant elle masque ce qu’elle ne sait dire…

     Elle aime à charmer, câline bien qu’un peu féline, Au regard bleuté, quelles sont ses pensées ?...

     Dans ses yeux azurs, souvent on y lit l’inquiétude, des blessures, mais d’un simple sourire, elle espère faire oublier ce qu’elle ne sait dire…

     Elle est belle, discrète et très secrète, au regard bleuté, quelles sont ses pensées ?...

     Dans ses yeux bleus océans, on y lit aussi la mélancolie, trop souvent, et malgré tout, d’un simple sourire, elle arrive à effacer ce qu’elle ne sait dire…

     Elle est un mystère, enfant assez solitaire au regard bleuté, elle masque avec son sourire ses pensées qu’elle ne sait dire…

     Ma petite fille adorée, perdue dans tes pensées, je ne peux qu’imaginer dans ton regard bleuté que ton silence sert à étouffer tes souffrances…

     Mon enfant, ma petite fille mystère, avec rage et colère, brise ce silence qui abîme ton regard bleuté, parles-moi, ta maman est là qui t’aime, parles-moi, enivres-moi de ton regard azur et racontes-moi toute tes pensées, toi mon enfant tant aimé…

    Enfant…

     Il ne s’exprime pas comme vous et moi,

    Ce petit enfant dont le cœur est rempli de tourments…

    Il n’est pourtant pas le fils de Satan,

    Mais dans son esprit, des démons de tyrannie

    Régissent sa petite vie…

     Il est agité et ne sait pas se poser,

    Ce petit enfant au cœur abîmé, comprend…

    Pourtant… qu’il n’est pas comme les autres, et rejette,

    La faute sur une maman effrayée, par tant de cruauté…

     Il n’arrive pas à se calmer et ne fait qu’exploser,

    Ce petit enfant au cœur violent, est méchant…

    Agressif, instable, insolent, mais néanmoins intelligent,

    Souffre autant que sa maman, de ne pas être aimant…

     Il insupporte et exaspère, et ne sait pas se taire,

    Ce petit enfant au cœur dément, est soulant…

    Courant, grimpant, escaladant sans répit le jour durant,

    Au grand désarroi de sa maman, qui ne peut le suivre tout le temps…

     Il est sombre et froid, il est malheureux, je le vois,

    Ce petit enfant au sourire pourtant charmant,

    Et quand parfois il se repend, ce n’est qu’un bref instant,

    Encore trop petit pour comprendre que maman n’en peut plus de lui…

     C’est mon enfant, le petit monstre de maman,

    Un enfant, plein de doute, oppressé par des questions qui déroutent,

    Aux yeux abîmés, par tant de larmes versées…

    Au cœur meurtri, d’être incompris…

    Aux mille et une façon d’attirer l’attention

    De sa maman désarmée, devant le mal-être de son bébé…

     C’est mon enfant, le petit monstre de maman

    Un enfant, plein de doute, sans cesse à bouger, à questionner, en déroute…

    Aux yeux râleurs, à la recherche de son cœur,

    Au corps bleuté, par tant de chutes incontrôlées,

    Aux mille et une façon d’attirer l’attention

    De sa maman qui cherche à exorciser les démons de son bébé...

    Le mal-être de son bébé tant aimé…

    (images du net)...


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  • (toutes les images on été trouvées sur le net)...

      

    en vous souhaitant une belle journée, je vous offre un

    Conte amérindien,

    Bises de Véro...

     

     

    comment le ciel est devenu grand…

     

    C'était il y a longtemps, lorsque le ciel était trop bas.
    Il était si bas qu'il n'y avait pas de place pour les nuages.
    Il était si bas que les arbres ne pouvaient pas pousser.
    Il était si bas que les oiseaux ne pouvaient pas voler. S'ils
    essayaient, ils se cognaient aux arbres et aux nuages.

    Mais ce qui était plus pénible encore, c'était que les hommes
    adultes ne pouvaient pas se tenir debout, bien droits comme
    leurs corps le leur demandaient. Ils devaient marcher tout
    penchés, en regardant leurs pieds et ne voyaient pas où ils
    allaient.

    Les enfants ne connaissaient pas ce problème. Ils étaient
    petits, ils pouvaient se lever aussi droits qu'ils le souhaitaient.
    Ils ne marchaient pas en regardant leurs pieds et pouvaient
    voir où ils allaient.

    Ils savaient par contre qu'un jour, ils deviendraient des adul-
    tes et qu'ils devraient marcher tout penchés en regardant
    leurs pieds à moins que quelque chose ne se passe.

    Un soir, tous les enfants se réunissent et décident de relever
    le ciel. Les quelques adultes qui les écoutent rient sous cape
    mais soudain, ils voient les enfants lever de longs poteaux
    vers le ciel. Un, deux, trois, quatre...
    Un cri énorme retentit UUU-UHHHH ! Mais rien ne se passe.

    Le ciel reste comme il a toujours été. Les arbres ne peuvent
    toujours pas grandir. Les oiseaux ne peuvent toujours pas
    voler. Il n'y a toujours pas de place pour les nuages et les
    adultes marchent toujours courbés en regardant leurs pieds
    sans voir où ils vont.

    Le lendemain, les enfants recommencent avec des poteaux
    plus longs. Un, deux, trois, quatre...
    Un cri énorme retentit UUU-UHHHH ! Mais rien ne se passe.

    Le soir suivant, les enfants (qui sont persévérants) essayent
    encore. Ils prennent des poteaux encore plus longs.
    Un, deux, trois, quatre...
    Un cri énorme retentit UUU-UHHHH ! Mais rien ne se passe.

    Le quatrième soir, ils ont trouvé de très, très, très longs po-
    teaux, les plus longs qu'ils pouvaient trouver et ils se sont
    mis à compter. Un, deux, trois, quatre...
    Un cri énorme a retentit UUU-UHHHH ! Et le ciel s'est soulevé.

    Depuis ce jour, le ciel est à sa place.

    Les arbres peuvent pousser, les oiseaux peuvent voler
    sans se heurter aux troncs et aux branches. Les nuages
    ont de la place pour aller et venir et les hommes peuvent
    se tenir droit en regardant le ciel.

    Mais le plus merveilleux c'est que lorsque le soleil s'est
    couché la nuit suivante et qu'il a commencé à faire sombre,
    le ciel troué par les poteaux des enfants s'est mis à scintiller.
    Dans chaque trou, il y avait une étoile.

    La prochaine fois que vous regarderez le ciel, vous saurez
    que c'est grâce aux enfants que vous pouvez admirer un tel
    spectacle. Vous repenserez à cette histoire et vous saurez
    que c'était vrai...


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  • petite légende Québécoise...

    bonne lecture et bonne journée...

    bises de Véro...

    Rose Latulipe...

     

    Rose était la fille unique d'un dénommé Latulipe.  Celui-ci l'adorait, il tenait à elle comme à la prunelle de ses yeux.  Et, il va sans dire, Latulipe ne pouvait rien refuser à sa fille.

    Rose était une jolie brunette, mais un peu éventée.  Elle avait un amoureux nommé Gabriel, à qui elle était fiancée depuis peu.  On avait fixé le mariage à Pâques.  Rose aimait beaucoup les divertissements, si bien qu'un jour de Mardi gras, elle demanda à son père d'organiser une soirée de danse.  Celui-ci accepta, bien sûr, mais il fit promettre à Rose que tous les invités seraient partis à minuit car ce serait alors le Mercredi des Cendres.  Il pouvait être onze heures du soir, lorsque tout à coup, au milieu d'un cotillon, on frappa à la porte.  C'était un monsieur vêtu d'un superbe capot de chat sauvage.  Il demanda au maître de la maison la permission de se divertir un peu.

    -C'est trop d'honneur nous faire, avait dit Latulipe, dégrayez-vous, s'il vous plaît, nous allons faire dételer votre cheval. 
    On lui offrit de l'eau-de-vie.  L'inconnu n'eut pas l'air d'apprécier la boisson offerte.  Il fit une grimace  en l'avalant; car Latulipe, ayant manqué de bouteilles, avait vidé l'eau bénite de celle qu'il tenait à la main, et l'avait remplie d'alcool. 

    C'était un bel homme que cet étranger mais il avait quelque chose de sournois dans les yeux. 
    Il invita la belle Rose à danser et ne l'abandonna pas de la soirée.  Rose se laissa subjuguer par cet élégant jeune homme habillé de velours noir.  Elle était la reine du bal. 

    Quant au pauvre Gabriel, renfrogné dans un coin, ne paraissait pas manger son avoine de trop bon appétit.

    Une vieille tante, assise dans sa berceuse, observait la scène en disant son chapelet.  À un certain moment, elle fit signe à Rose qu'elle voulait lui parler. 

    -Écoute, ma fille, lui dit-elle; je n'aime pas beaucoup ce monsieur, sois prudente.  Quand il me regarde avec mon chapelet, ses yeux semblent lancer des éclairs.

    -Allons, ma tante, dit Rose, continuez votre chapelet, et laissez les gens du monde s'amuser.

    Minuit sonna.  On oublia le Mercredi des Cendres.

    -Encore une petite danse, dit l'étranger.

    -Belle Rose, vous êtes si jolie, je vous veux. Soyez à moi pour toujours?

    -Eh bien! oui, répondit-elle, un peu étourdiment.

    -Donnez-moi votre main, dit-il, comme sceau de votre promesse.

    Quand Rose lui présenta sa main, elle la retira aussitôt en poussant un petit cri, car elle s'était senti piquer; elle devint très pâle et dut abandonner la danse. 

    Mais l'étranger, continuait ses galanteries auprès de la belle.  Il lui offrit même un superbe collier en perles et en or: «Ôtez votre collier de verre, belle rose, et acceptez, pour l'amour de moi, ce collier de vraies perles.»  Or, à ce collier de verre pendait une petite croix, et la pauvre fille refusait de l'ôter.

    Pendant ce temps, deux jeunes gens qui étaient allés s'occuper du cheval de l'étranger avaient remarqué de bien étranges phénomènes.  Le bel étalon noir était certes, une bien belle bête mais pourquoi dégageait-il cette chaleur insupportable?  Toute la neige sous ses sabots avait fondu.  Ils rentrèrent donc et, discrètement, firent part à Latulipe de leurs observations

    Le curé, que Latulipe avait envoyé chercher, arriva; l'inconnu en tirant sur le fil du collier de verre de Rose l'avait rompu, et se préparait à saisir la pauvre fille, lorsque le curé, prompt comme l'éclair, s'écria d'une voix tonnante:

    -Que fais-tu ici, malheureux, parmi les chrétiens?

    -Cette jeune fille s'est donnée à moi et le sang qui a coulé de sa main est le sceau qui me l'attache pour toujours, répliqua Lucifer.

    -Retire-toi, Satan, s'écria le curé.  Il prononça des mots latins que personne ne comprit.  Le diable disparut aussitôt avec un bruit épouvantable en laissant une odeur de soufre dans la maison.
    ...
    Cinq ans après, une foule de curieux s'étaient réunis dans l'église, de grand matin, pour assister aux funérailles d'une religieuse.  Parmi l'assistance, un vieillard déplorait en sanglotant la mort d'une fille unique, et un jeune homme, en habit de deuil, faisait ses derniers adieux à celle qui fut autrefois sa fiancée: la malheureuse Rose Latulipe....

     


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  • en ce jour d'Automne, des légendes Amérindiennes...

    (les créas sont de moi)...

     

    je vous souhaite un Bel Automne...

    bises de Véro...

    Les couleurs d’automne (1ère légende)

    Envieux de la Petite Tortue, la gardienne du ciel, le Chevreuil désirait quitter la Grande Île et, plus que tout, il voulait avoir accès au grand ciel bleu. Pour réaliser son ambition, il consulta l’Oiseau-Tonnerre qui lui conseilla de monter au ciel en utilisant un arc-en-ciel. Alors, le Chevreuil attendit le printemps et, suite à la première pluie envoyée par (Hinon), il emprunta le chemin tracé par l’arc-en-ciel. Ainsi, il se retrouva rapidement au ciel où il fut libre de courir à sa guise.

    Au même moment, réunis en conseil, les animaux cherchèrent le Chevreuil. Le Loup fouilla les bois, alors que le Faucon scruta l’azur. C’est alors que tous virent le Chevreuil gambadant avec grande agilité. Les animaux décidèrent de se rendre au ciel en empruntant le pont de toutes les couleurs..

    L’Ours reprocha au Chevreuil de penser uniquement à lui et d’oublier tous les autres animaux de la Grande Île. Faisant fi de tout reproche, le Chevreuil provoqua l’Ours en duel. Le combat s’engagea sur le champ. Rapide comme l’éclair, le Chevreuil piqua l’Ours de ses bois pointus. L’Ours était mortellement atteint et le sang s’écoula avec abondance des plaies. Le sang ruissela jusque sur la Grande Île où les feuilles des arbres se teintèrent de la couleur du sang de l’animal.

    Depuis, à chaque année, lorsque revient l’automne, la nature commémore le combat du Chevreuil et de l’Ours et le feuillage des arbres devient rouge. C’est pourquoi, chez les Hurons-(Wendat), le nom divin du chevreuil est (DEHEYANTEH), ce qui signifie " celui pour lequel l’arc-en- ciel a fait un chemin de couleur ".

    Selon la tradition, les beautés de l’automne, lorsque la nature meurt, sont source de nostalgie pour les âmes des disparus qui se remémorent leur ancienne demeure terrestre. Même les dieux reviennent habiter la Grande Île, car l’automne est un temps pour l’esprit. En cette saison, les Pléiades, les étoiles les plus belles, quittent leur pays céleste pour venir habiter le ciel de la Grande Île.

    Les couleurs d’automne (2ème légende)

    Durant le mois des feuilles qui tombent, l’arbre qui donne le sucre devient couleur de sang. Nos ancêtres racontaient que, autrefois, les hommes et les animaux voyageaient librement entre la Grande Île sur le dos de la Grande Tortue et la Terre d’en Haut, le domaine de la Petite Tortue. Tous montaient et descendaient par l’arc-en-ciel, le pont de toutes les couleurs.

    Ici et là, les hommes et les animaux se promenaient et jouaient sans souci. Afin d’éviter les guerres et les querelles, le Grand Esprit leur avait enlevé la faim et la soif. Il faisait aussi durer les mois chauds toute l’année de sorte que les hommes n’avaient pas besoin de prendre aux animaux leur robe de fourrure. Sur l’île de la Grande Tortue ou sur la terre de la Petite Tortue, tout alla bien pendant un nombre incalculable de lunes, jusqu’au moment où Rat, chez qui loge depuis */Taoueskare/*, le mauvais frère, proposa de jouer à qui courrait le plus vite chez les animaux de la forêt.

    Sur l’île de la Grande Tortue ou sur la terre de la Petite Tortue, tout alla bien pendant un nombre incalculable de lunes, jusqu’au moment où Rat, chez qui loge depuis (Taoueskare), le mauvais frère, proposa de jouer à qui courrait le plus vite chez les animaux de la forêt.

    C’est ainsi que Élan, Cerf, Lièvre, Loup, Cougar et Caribou prirent le départ de la course , mais à la surprise générale, ce fut Lièvre qui se classa au premier rang. Il faut dire que Renard, pour jouer un vilain tour aux autres, avait fait placer les frères de Lièvre tout au long du parcours. Le dernier n’eut que quelques sauts à faire pour battre Cerf qui était loin devant ceux qui avait pris le départ.

    Dans cette course, Ours était juge et, comme il a la vue basse, il ne put distinguer un frère lièvre d’un autre. Il proclama donc vainqueur celui qui avait franchi la ligne d’arrivée. Cerf fut très fâché. Sans dire un mot, il quitta l’assemblée et, sans attendre les autres, il remonta vers la Terre d’en Haut par le pont de toutes les couleurs. Sa conduite déplut à Ours qui le suivit pour lui faire des remontrances. Au lieu de s’expliquer avec lui, Cerf hérissa les poils sur son dos et chargea son compagnon tête baissée. Ours se défendit de son mieux, mais il fut blessé à plusieurs endroits. Il aurait pu être tué si Loup, qui l’avait suivi, n’avait pas pris sa part et chassé Cerf.

    Poursuivi par Loup, qui est demeuré depuis son plus dangereux ennemi, Cerf se sauva et le sang d’Ours sur ses bois dégoulina sur les feuilles des arbres à sucre. Depuis, tous les ans, les feuilles prennent la couleur du premier sang versé sur la Terre.

    Ainsi l’a ordonné le Grand Esprit afin que les animaux se rappellent comment eux-mêmes mirent fin à la Grande Trêve et afin que les hommes profitent de cette leçon. Et pour punir Cerf, le Grand Esprit a aussi voulu que, lorsque les feuilles rouges sont tombées depuis deux lunes, Cerf perde aussi ses bois et soit livré sans défense à Loup.

    Création du monde

     

    Pendant fort longtemps, les Hurons-(Wendat) ont vécu de l’autre côté du ciel. Un jour, une jeune femme, nommée (Aataensic), creusait au pied d’un grand arbre à la recherche de racines pour guérir son mari malade.

    Par inadvertance, la jeune femme, qui était enceinte, perdit pied et tomba dans un trou du ciel. Deux Grandes Oies sauvages aperçurent la jeune fille dans sa chute vertigineuse. Déployant leurs ailes immenses, ils se précipitèrent vers la malheureuse et la sauvèrent in extremis d’une noyade certaine en la juchant sur leur dos.

    Ne sachant que faire, les Grandes Oies s’adressèrent à la Grande Tortue qui nageait dans cet océan des premiers âges. Reconnue entre tous pour sa sagesse, la Grande Tortue décida sur le champs de convoquer un conseil réunissant tous les animaux aquatiques dans le but de trouver une solution.

    S’adressant à eux, elle demanda aux animaux les plus valeureux de lui ramener quelques grains de terre des profondeurs de l’océan. Parmi les nageurs aguerris, la Loutre, le Rat Musqué et le Castor plongèrent tour à tour, mais tous les trois revinrent bredouille, complètement épuisés par l’effort, et rendirent l’âme aussitôt. La situation était désespérée.

    C’est alors que sous l’oeil amusé de plusieurs, le vieux Crapaud se porta volontaire et s’engouffra aussitôt vers les noirceurs de l’abîme. Longtemps après, alors que tous le croyaient disparu à jamais, le Crapaud refit surface avec quelques grains de terre dans la gueule.

    Cette terre fut, avec grands soins, déposée sur le dos de la Grande Tortue et, très rapidement, cette poignée de terre devint une île verdoyante d’une très grande dimension. La jeune fille s’établit sur cette île et donna naissance à son enfant. Cette île fut nommée (Wendake) et elle abrita désormais la nation huronne-(wendat). Depuis ce temps, lorsque la Grande Tortue bouge, la Terre se met à trembler.

     


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  • Une artiste...

    Pixie Cold...

    Bonne Journée...

    Bises de Véro...

    La parole est inutile, quand les yeux communiquent...

    Les premiers billets doux, sont ceux que les yeux lancent...

    Les yeux sont les fenêtres de l'âme...

    Les yeux sont toujours plus tendres que le coeur...

    Les caresses des yeux sont les plus adorables...

    On s'exprime mieux quand des yeux nous encouragent...

    Les femmes ont des yeux plus grands que les étoiles...

    Il y a des yeux qui recoivent la lumière, et il y a des yeux qui la donnent...


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