• Coucou, c'est moi, je suis gelée mais comme le froid conserve, et bien voici une idée sortie pour le WE, attention aux frileux...

     

    Hôtel de Glace…

     

     

     

     

    Il existe dans les régions froides de la planète des hôtels temporaires construits en neige et en blocs de glace sculptés… le tout premier du genre est apparu en 1989, en Suède, dans la ville de Jukkasjärvi, situé à 200 km du cercle arctique…

     

     

     

     

     

    Il faut environ deux mois aux bâtisseurs et aux artistes pour construire et décorer de tels établissements où, si vous n’êtes pas frileux, vous pouvez passer la nuit en vêtements chauds et sac de couchage par -5°C!!!…

     

     

     

     

     

    Mais comme on dit « qui est actif, n’a jamais froid »…

     

     

     

     

    C'est une bonne idée de voyage de noce par exemple, et puis ne dit t'on pas que :

    La mariage, au contraire de la fièvre, commence par le chaud et finit par le froid...

     

     

    Quelque dévêtue qu'elle puisse être, une jolie femme ne prend jamais froid, pour peu qu'elle est le sentiment d'être en beauté...

     

    Ce n'est pas parce qu'en hiver on dit "fermez la porte, il fait froid dehors", , qu'il fait moins froid dehors quand la porte est fermée...

     

     

     


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  • aujourd'hui mercredi, les articles se font en famille avec mes p'tits-loups et sophie la girafe...

     

    un mercredi avec Sophie la Girafe...

    Publié le 19/01/2011 à 15:07 par loevanerell

    la petite histoire de Sophie la Girafe...

     

     

     

     

     


    Elle est née un 25 mai, jour de la Sainte-Sophie. La girafe en latex, imaginée dans les ateliers de Delacoste à Asnières-sur-Oise, s'est donc prénommée ainsi. C'était en 1961. À cette époque, les animaux domestiques en tissu ou en caoutchouc avaient la cote dans les berceaux. Pour se distinguer de ses concurrents, la société parisienne choisit une figure plus exotique, avec un long cou plus facile à saisir par de petites mains. Sophie fut très vite adoptée par des générations d'enfants, très sensibles à son air malicieux et son couinement mélodieux...  

     

     

    Quarante-cinq ans après sa conception, elle reste le jouet du premier âge le plus commercialisé en France. Son succès ne faiblit pas. En souvenir de leur enfance câline, les parents achètent une (ou plusieurs) girafes à leur(s) rejeton(s). Les ventes suivent la courbe des naissances. Elles oscillent, selon les années, entre 450 000 et 500 000 exemplaires. Un chiffre à rapprocher des 800 000 naissances enregistrées en 2005. Depuis 1961, Sophie n'a pas subi de lifting majeur, sauf en 1981 pour respecter certaines normes de sécurité : sa tête a légèrement enflé et ses pattes ont été recourbées...

     

     



    Sophie est produite depuis 1990 à Rumilly. Quatorze opérations manuelles sont nécessaires pour fabriquer ce jouet tout en caoutchouc naturel, comme les tétines de biberon, sans phalate, un additif utilisé couramment dans les matières plastiques. Le corps de la girafe est d'abord coulé dans un moule qui tourne continuellement pour éviter que le latex colle à ses parois pendant la cuisson. Puis elle est « maquillée ». Trois coups de pistolet permettent de lui donner des couleurs rose, rouge, noir, d'abord sur son ventre et son cou, puis sur ses joues, ses oreilles et ses pattes, enfin sur ses yeux. De fait, chaque copie est unique. Chaque ouvrière peint 860 à 1 200 girafes par jour. « Tout est fait ici de A à Z, des moules en plâtre à la pose des sifflets, jusqu'à l'emballage », explique Bernadette Cochet, responsable de production chez Vulli, qui emploie 74 salariés à Rumilly...

     

     



    Sophie est devenue une vedette sans grande campagne de publicité, par le simple bouche à oreille. Elle s'est imposée sans avoir tourné de dessin animé ou de série télévisée. Ce succès est unique. Il est certainement dû à sa petite taille (18 cm), à sa frimousse, à ses joues rouges. Les bébés peuvent la sucer en toute sécurité, la toucher, la sentir, l'écouter : elle développe tous les sens. Aujourd'hui, ce personnage est l'objet de nombreuses licences. Son effigie se décline sur des tapis, des T-shirts, des chaussettes, des tasses, des cadres de photos... Une boutique a été créée sur Internet pour promouvoir des produits dérivés...

     

     



    Sa famille ne s'est jamais véritablement agrandie. Hormis deux grandes sœurs, Zoé et Chloé, qui n'ont pas connu la même notoriété, Sophie reste la star des jouets d'éveil. Une star franco-française...

     

     



    Au grand dam de ses parents putatifs, Sophie s'exporte peu. En Suisse timidement. Un défi à relever pour le nouveau patron de l'entreprise haut savoyarde. Il n'y a pas de raison que les autres bébés, européens et d'ailleurs, ne succombent pas à leur tour au charme de Sophie.

     

    et pour en savoir encore plus c'est ici :http://www.vulli.fr/

     

     

    voilà vous savez tout sur notre bonne vieille copine Sophie la Girafe...

     

     

     

    et maintenant une petite chanson...

     

     

     

     La girafe…

     

    - Quand je serai grand, je serai girafe
    Pour être bien vu par les géographes.

    - Pas éléphant blanc, c'est trop salissant,
    Ni serpent python, ni caméléon.

    - La girafe est belle, elle est une échelle, Entre sol et ciel, l'herbe et le soleil !

    - Mammouth, c'est trop tard et marsouin trop loin,
    Le chameau a soif, le saurien a faim.
    - Tandis que girafe on a de grandes pattes !
    Un cou bien plus haut que le télégraphe !
    - Le kangourou boxe, il reçoit des coups,
    Il a une poche, mais pas de sous.

    - Non décidément, quand je serai grand,
    Je serai girafe et vivrai cent ans…  

     

     

    bon mercredi les p'tits-loups... bisous bisous...

     

     

    histoire du mercredi...

    Publié le 19/01/2011 à 14:51 par loevanerell

    Coucou, c'est mercredi, et c'est nous avec une petite histoire pour vous trouvé sur le net...

     

     

     

     

    La légende de Sidonie…

     

     

    Grand-mère aimait le mercredi.

    Ce jour-là, ses petits-enfants n’allaient pas à l’école et venaient lui rendre visite.

    Assise en tailleur, elle racontait de drôles d’histoires, sous le vieux marronnier du jardin.

    Enzo et Lilou, le pouce à la bouche, le doudou sur les genoux, n’en perdaient pas une miette…

     

     

     

    Il fut un temps où les girafes ne ressemblaient guère à celles que nous connaissons aujourd’hui. Elles possédaient un cou minuscule et un énorme ventre. Sans cesse affamées, elles dévoraient tout, sans distinction : insectes, miel et cochons sauvages. Elles étaient si grosses qu’on aurait pu les confondre avec des rhinocéros !

    Mais la petite Sidonie était différente de ses compagnes.

    La girafette (ce mot n’existe pas !) rêvait d’aventures extraordinaires. Le nez au vent, elle gambadait dans la savane. Par instants, elle s’arrêtait et demandait :


    - Qui y a-t-il derrière les nuages ?Ses sœurs gloussaient :


    - Quelle importance ?… Les nuages ne se mangent pas !Les railleries des unes et des autres ne tourmentaient pas Sidonie. Elle continuait de poser des questions, s’étonnant de ne recevoir aucune réponse :- Où va le chemin ? Qu’y a-t-il plus loin ?

    - Tais-toi et va voir ailleurs ! s’écrièrent un jour ses sœurs, excédées.Sidonie partit donc sur le chemin. Elle alla plus loin et plus loin encore.

    La girafette aperçut un arbre gigantesque, un baobab. Et pour la première fois, une terrible faim la tenailla.

     

     

     

     

     


    Sidonie croqua une des feuilles de l’arbre : Un régal ! Elle se mit sur la pointe des pattes pour goûter celles des branches supérieures. Puis, comme les jeunes pousses de la cime paraissaient délicieuses, la girafe tordit le cou, s’étira pour les atteindre… et resta coincée ! Affolée, elle gigota en tous sens, tenta de se dégager. Et plus elle bougeait, plus le piège se resserrait.

    Ses cris de désespoir alertèrent les animaux des environs.
    Papillons, oiseaux, gazelles accourent à son secours. Les uns entreprirent de tirer Sidonie. Les autres poussèrent. Son cou et ses pattes s’allongèrent, s’allongèrent…

     

     

     

     

     

    Un dernier effort et hop !Sidonie fut enfin libre !

    Mais la girafette garda les traces de cette mésaventure. D’incroyables traces…
    Elle possédait maintenant un cou long et flexible qui lui permettait d’atteindre la cime des arbres. Un cou à toucher les nuages !
    Elle marchait avec élégance grâce à ses longues jambes de ballerine.
    Et, comme son nouveau menu ne comportait que des feuilles croquantes et savoureuses, sa silhouette s’affina.

    Quand Sidonie rentra chez elle, ses sœurs jalousèrent sa taille de guêpe. Elles voulurent lui ressembler et se mirent au régime… Bientôt les girafes furent en tous points semblables aux nôtres.

    Il devint désormais impossible de confondre girafe et rhinocéros ! ...

     


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  • Quel temps, il souffle un vent à décorner les bœufs comme on dit, ah et bien savez-vous d’où vient cette expression, aller je vous le dis…

    Un vent très violent…

     

     

     

    Aucun vent même les rafales du mistral le plus violent, n’est capable d’arracher ses cornes à un bovin. Mais cette expression a tout de même un rapport avec les bœufs. Attestées depuis le XIXe siècle, elle signifie en effet que les jours de grand vent sont les plus appropriés pour couper les cornes de ces animaux. En effet, ces jours-là, les insectes ne peuvent pas se poser sur les plaies provoquées par cette opération et y pondre leurs œufs, générateurs de terribles infections chez les animaux. De plus, un vent très violent permet aux plaies de sécher plus rapidement…

     

     

     

     

     

     

    Tiens et maintenant , Il pleut comme vache qui pisse… voilà encore une très jolie expression que je vais de ce pas vous expliquer les origines…

     


    Que l'homme est parfois petit face aux 'merveilles' de la nature ! Il suffit de comparer un jet d'urine humaine à celui produit par un bovin en pleine miction (pas du tout impossible) pour le comprendre.
    Si vous êtes déjà allé batifoler dans les prés , vous n'avez pas pu échapper à ce spectacle étonnant.

    Alors en partant d'une petite pluie qui aurait été comparée à une miction humaine, on comprend très bien qu'une très grosse pluie ait pu donner lieu, de la part d'un très fin observateur de la deuxième moitié du XIXe siècle (période d'apparition de l'expression), à une comparaison avec un tel déversement de liquide d'origine bovine.

    Quelques esprits chagrins diront que l'éléphant bat la vache à plate couture dans ce domaine.
    Certes ! Mais, à cette époque, il était quand même nettement plus rare de rencontrer des éléphants broutant les prés . Et, en général, on n'ose des comparaisons qu'avec ce qu'on connaît bien.
     Et chez les Anglais, on dira qu'il pleut des chiens et des chats. Au Québec, l'expression est beaucoup plus élégante : il pleut à boire debout. 

     

     

     

     

     

     Les z'amis...

     

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  • voici les clés, pour un excellent WE...

     

    La Clé... 

    Amulette protectrice en occident comme en Orient, la clé représente le pouvoir de pénétrer dans un lieu qu’il soit réel ou symbolique- que l’on songe à la clé du paradis ou la clé d’un mystère.

    La clé porte-bonheur doit de préférence être en fer forgé et doit se porter autour du coup ou dans la poche droite.

    On la touche pour écarter le danger, attirer la chance ou gagner un procès. On dit qu’un enfant dormant avec une clé sous son oreiller est protéger du mauvais sort. Au moyen-âge, les prêtres posaient la clé de leur église sur les personnes ou les bêtes malades pour assurer leur guérison. Au XIXe siècle, ce porte-bonheur était tellement en vogue que les bijoutiers en fabriquaient de toutes formes, pour être porté en broche, en breloque, en collier ou en bague…

     

    avec le WE qui arrive, on prendrait bien aussi la "Clé des Champs"...

     

    La clé des champs…

     

    Au Moyen-âge, les champs - les grands espaces ouverts - représentent la liberté, l'indépendance, la fuite hors du contrôle social. Prendre la clé des champs, c'est ouvrir la porte de la liberté.

    Il s'agit plutôt d'une orthographe erronée. Ce n'est pas la clé des champs mais la claie des champs. La claie désigne dans presque tous les dialectes de France "une barrière ou une clôture dans les champs en treillage".

     

     

    Il n’y a rien de plus beau qu’une clé, tant qu’on ne sait pas ce qu’elle ouvre…  

     

     Le pucelage est le plus riche trésor des filles. Mais il est bien malaisé de garder longtemps un trésor dont tous les hommes possèdent la clef…  

     

    Un poème est un mystère dont le lecteur doit chercher la clé…  

     

    Pourquoi chercher désespérément la clé du bonheur alors, que de toute façon, la serrure n’a jamais existé…  

     

    Un sourire est une clé secrète qui ouvre bien des cœurs…  

     

    Quand une femme a donné la clé de son cœur, il est bien rare, qu’elle ne fasse pas changer la serrure…  

     

    Les pense-bêtes sont les porte-clés de la mémoire…  

     

    L’amour est la clé de toutes les portes fermées en ce monde… 

     

           

     

      Bon vendredi les z'amis...   et bon WE...


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    Coucou, un jeudi culturel... avec : L'Ikebana...

     

     

     

     

     

    Qu’est-ce que l’Ikebana...

    «La force de l’Ikebana, c’est l’acte de création »

    L’Ikebana est l’expression de l’art en trois dimensions composé d’éléments végétaux, dans un vase ou non et dont l’accent est mis sur la perfection linéaire. Le cadre dans lequel s’insère tout arrangement floral japonais et le concept de base de l’art floral japonais, celui qui permet d’en comprendre le sens, est son triple symbolisme :

    Le ciel… L’homme… La terre…


    L’attention accordée au choix des plantes, au récipient, à la disposition des branches et à la relation entre les branches, les fleurs, le récipient et l’espace environnemental différencie cet art de l’utilisation purement décorative des fleurs...

     

     

     

     

     

    L’Ikebana est donc une œuvre artistique, qui, à partir de concret, « la fleur » , « la branche » devient une création abstraite. Art éphémère, c’est le dialogue entre le végétal et l’humain. « La fleur appartient au monde du concret, l’Ikebana appartient au monde de l’abstrait » (Sofu Teshigahara, Kadensho).

    Kado : la voie des fleurs
    Considéré par les japonais comme un art raffiné et accompli, l’Ikebana fut introduit en Europe au début du XXème siècle. Depuis, le nombre de ses pratiquants n’a cessé de croître malgré l’engagement qu’il demande et la discipline qu’il impose. Sa pratique assidue, renonçant à tout esprit de compétition, ouvre une voie vers la dissolution des conflits intérieurs et la connaissance de soi.

    « C’est à force de répéter le même travail des mains que l’on touche à l’essence des choses » (Sofu Teshigahara, Kadensho)...

     

     

     

     

     

    Bonne Journée ...


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